25 juillet 2006
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LES PARTISANS DE J.J. DEMAFOUTH S'INTERROGENT SUR L'AVENIR DE LA « NOUVELLE ALLIANCE POUR LE PROGRES »
L'annonce de la création d'un nouveau parti politique a mis un baume au cœur des partisans de Jean-Jacques Demafouth qui se croyaient abandonner après l'échec de leur candidat à l'élection présidentielle de 2005.
La création du parti dénommée NAP (Nouvelle Alliance pour le Progrès) leur a redonné confiance mais n'empêche qu'ils se posent énormément de questions sur cette manière d'annoncer la création d'un parti politique depuis l'étranger. Beaucoup craignent en effet qu'en raison de divers contentieux avec le président Bozizé et le régime actuel, que le pouvoir actuel fasse tout pour empêcher l'organisation et le fonctionnement de ce parti sur le territoire national.
D'autres se demandant encore s'il ne s'agit pas tout simplement d'un « effet d'annonce » sans lendemain. Mais il va de soi que Jean Jacques Demafouth qui est avant un « homme de l'ombre » a senti que l'heure a sonné pour lui de se donner une formation politique pour lui servir de support aux actions futures. Mais quelles actions et quelle alternative ?
On pense aussi que l'annonce de la création d'un nouveau parti par Jean Jacques Demafouth s'adresse avant tout aux multiples réseaux que l'homme a crée dans le pays aussi bien dans les forces armées centrafricaines qu'au sein de l'opinion publique et de la classe politique centrafricaine. Elle pourrait également s'adresser à certains milieux politiques français favorables à Jean Jacques Demafouth. Une chose est sûre, ce dernier voudrait dorénavant que l'on compte avec lui dans les prochains débats politiques.
Va-t-il jouer la course de vitesse ou la course de fond ? Où siègera la direction politique de la « Nouvelle Alliance pour le Progrès » (NAP) ?.. Ce sont autant de questions que se posent les partisans de Jean Jacques Demafouth dont certains souhaiteraient qu'il leur laisse la latitude de préparer et d'organiser l'assemblée constitutive du nouveau parti sur le sol national par la mise en place d'un « Directoire Provisoire » avec des hommes et des femmes résidant au pays en attendant que la situation se clarifie pour leur leader déclaré.
Car à partir du moment où l'UMPCA de Yvonne Mboïssona a été créée après la promulgation de l'ordonnance relative aux partis politiques et au statut de l'opposition centrafricaine. Ordonnance dont l'application est renvoyée aux prochaines échéances électorales c'est-à-dire en 2010, on voit mal comment on pourrait refuser à Demafouth et à ses partisans de créer un parti politique et de l'animer. Mais la meilleure manière de participer à la vie politique nationale, c'est de résider sur le sol national et non à l'étranger. C'est ce qui perturbe nombre de partisans de Jean Jacques Demafouth qui s'interrogent à n'en pas finir. Ils ont raison, car tirant leçon des errements du passé, ils voudraient savoir à quelle sauce ils iront manger. Ils voudraient aussi savoir quelle sera leur marge de manœuvre dans ce nouveau parti qui s'annonce avant tout démocratique. Nul doute que Jean Jacques Demafouth s'emploiera très rapidement à éclairer les lanternes de ses partisans, car c'est en leur nom et suite à leur appel qu'il s'est engagé à créer ce parti. Après il aura à affronter les autorités politiques pour la reconnaissance de la « Nouvelle Alliance pour le Progrès ». Mais cette partie n'est gagnée d'avance même si la création de l'UMPCA pourrait faire jurisprudence…
La création du parti dénommée NAP (Nouvelle Alliance pour le Progrès) leur a redonné confiance mais n'empêche qu'ils se posent énormément de questions sur cette manière d'annoncer la création d'un parti politique depuis l'étranger. Beaucoup craignent en effet qu'en raison de divers contentieux avec le président Bozizé et le régime actuel, que le pouvoir actuel fasse tout pour empêcher l'organisation et le fonctionnement de ce parti sur le territoire national.
D'autres se demandant encore s'il ne s'agit pas tout simplement d'un « effet d'annonce » sans lendemain. Mais il va de soi que Jean Jacques Demafouth qui est avant un « homme de l'ombre » a senti que l'heure a sonné pour lui de se donner une formation politique pour lui servir de support aux actions futures. Mais quelles actions et quelle alternative ?
On pense aussi que l'annonce de la création d'un nouveau parti par Jean Jacques Demafouth s'adresse avant tout aux multiples réseaux que l'homme a crée dans le pays aussi bien dans les forces armées centrafricaines qu'au sein de l'opinion publique et de la classe politique centrafricaine. Elle pourrait également s'adresser à certains milieux politiques français favorables à Jean Jacques Demafouth. Une chose est sûre, ce dernier voudrait dorénavant que l'on compte avec lui dans les prochains débats politiques.
Va-t-il jouer la course de vitesse ou la course de fond ? Où siègera la direction politique de la « Nouvelle Alliance pour le Progrès » (NAP) ?.. Ce sont autant de questions que se posent les partisans de Jean Jacques Demafouth dont certains souhaiteraient qu'il leur laisse la latitude de préparer et d'organiser l'assemblée constitutive du nouveau parti sur le sol national par la mise en place d'un « Directoire Provisoire » avec des hommes et des femmes résidant au pays en attendant que la situation se clarifie pour leur leader déclaré.
Car à partir du moment où l'UMPCA de Yvonne Mboïssona a été créée après la promulgation de l'ordonnance relative aux partis politiques et au statut de l'opposition centrafricaine. Ordonnance dont l'application est renvoyée aux prochaines échéances électorales c'est-à-dire en 2010, on voit mal comment on pourrait refuser à Demafouth et à ses partisans de créer un parti politique et de l'animer. Mais la meilleure manière de participer à la vie politique nationale, c'est de résider sur le sol national et non à l'étranger. C'est ce qui perturbe nombre de partisans de Jean Jacques Demafouth qui s'interrogent à n'en pas finir. Ils ont raison, car tirant leçon des errements du passé, ils voudraient savoir à quelle sauce ils iront manger. Ils voudraient aussi savoir quelle sera leur marge de manœuvre dans ce nouveau parti qui s'annonce avant tout démocratique. Nul doute que Jean Jacques Demafouth s'emploiera très rapidement à éclairer les lanternes de ses partisans, car c'est en leur nom et suite à leur appel qu'il s'est engagé à créer ce parti. Après il aura à affronter les autorités politiques pour la reconnaissance de la « Nouvelle Alliance pour le Progrès ». Mais cette partie n'est gagnée d'avance même si la création de l'UMPCA pourrait faire jurisprudence…
Lundi 24 Juillet 2006
Jean Siopassa