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24 mars 2017 5 24 /03 /mars /2017 00:54

Qui pouvait penser un jour que la France allait perdre son leadership d exemplarité et de la probité de ses candidatsOn se demande bien sur les 11 candidats comment passeront encore par la case justice avant le jour J?

France: une election présidentielle aux allures de la miafiocratie
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9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 01:47

qui font tout comme au soudan pour cinder notre pays  en 2

quel objectif de nombres de morts ont ils programmé atteindre avant que ces derniers mettent en applucation les multiples recommandations des nations Unies?

en tout cas le peuple Centrafricain se meurt par des actes de barbaries repetés par les seleka et antibalaka 

oui j'ai honte pour mon pays mais je l'aime

La centrafrique dans la tourmente guerriere

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17 octobre 2016 1 17 /10 /octobre /2016 19:42

DéfinitionLa mesure de la croissanceModifierArticles détaillés : Indicateur économique,produit intérieur brut et parité de pouvoir d'achat.La croissance économique est généralement mesurée par l'utilisation d'indicateurs économiques dont le plus courant est leproduit intérieur brut (PIB). Il offre une certaine mesure quantitative du volume de la production. Afin d'effectuer des comparaisons internationales, on utilise également la parité de pouvoir d'achat, qui permet d'exprimer le pouvoir d'achat dans une monnaie de référence. Pour comparer la situation d'un pays à des époques différentes on peut également raisonner à monnaie constante.L'indicateur du PIB reste cependant imparfait comme mesure de la croissance économique. Il est pour cela l'objet de plusieurs critiques :Il ne mesure que partiellement l'économie informelle. Une part importante des transactions, non déclarée, était perdue pour les statistiques comme le fisc. Mais en 2014, plusieurs pays (l'Italie, le Royaume-Uni, l'Espagne et la Belgique) ont décidé en 2014 d'intégrer dans leur PIB des estimations de l'économie souterraine (drogue, prostitution, trafics divers) en application des nouvelles normes comptables européennes publiées par Eurostat ; les États-Unis l'avaient déjà fait en 2013 ; la comptabilité nationale française, qui effectuait déjà des redressements pour prendre en compte les activités dissimulées (travail au noir, contrebande), a décidé d'intégrer des estimations du trafic de drogue, mais pas de la prostitution clandestine[6].Il ne mesure que de façon imparfaite les productions qui ne sont pas commercialisées : ainsi, la production des administrations est supposée égale aux salaires des fonctionnaires ; une évaluation des productions agricoles auto-consommées est intégrée. Même s'il prend en compte la production des activités non marchandes, il ne mesure pas l'activité de production domestique (ménage, cuisine, bricolage, éducation des enfants, etc.)[7]. Selon la boutade d'Alfred Sauvy, il suffit de se marier avec sa cuisinière pour faire baisser le PIB.Il ne mesure que les apports de valeur ajoutée dans l'immédiat (sur une année). Les effets de long terme, notamment dans des services tels que l'Éducation ou la Santé, ne sont pas ou mal comptabilisés à travers leur impact sur la production.Le PIB ne mesure que la valeur ajoutée produite par les agents économiques résidents. Il ne prend donc pas en compte les transferts de ressources internationaux, alors que ces derniers représentent souvent une part importante de leur richesse nationale. Il est possible d'utiliser un outil plus pertinent tel que le Revenu national brut.Enfin, il ne prend en compte que les valeurs ajoutées, et non la richesse possédée, par un pays, sans distinguer les effets positifs ou négatifs sur le bien-être collectif. Une catastrophe naturelle (Katrina détruisant La Nouvelle-Orléans, par exemple), qui détruit de la richesse, va pourtant contribuer au PIB à travers l'activité de reconstruction qu'elle va générer. Cette contribution ne reflète pas la destruction antérieure, ni le coût du financement de la reconstruction. Cette contradiction était dénoncée dès 1850 par l'économiste français Frédéric Bastiat qui dans son Sophisme de la vitre cassée écrivait que « la société perd la valeur des objets inutilement détruits », ce qu'il résumait par : « destruction n'est pas profit »[8].Cette contradiction apparente provient probablement du fait que le PIB ne mesure pas réellement le développement, le progrès en lui-même ; il ne mesure pas non plus l'activité économique, pourvoyeuse d'emploi, car l'activité peut fort bien croître sans augmentation de valeur ajoutée, si l'on remplace du capital ou des matières premières par du travail. La croissance ne mesure en fait que l'augmentation de la consommation de facteurs de production : travail, capital et ressources naturelles (matières premières, potentiel productif des terres agricoles, etc). La société peut progresser sans croissance, en modifiant la répartition des facteurs.Dans son acception classique, le développement économique ne se résume pas à la seule croissance économique et des indicateurs ont été proposés pour mesurer plus finement celui-ci, comme l'indice de développement humain.

Comment mesurer la croissance d 'un pays
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14 octobre 2016 5 14 /10 /octobre /2016 18:42

Depuis l'élection de Faustin archange Touaderae que les violences liées à des attaques et exécutions par des groupes barbares et primitifs maintenus armés dans le pays  par la France et la Minusca sur des paisibles citoyens et maintenant sur les autorités militaires du pays.

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5 décembre 2015 6 05 /12 /décembre /2015 21:22

Centrafrique: LES ÉLECTIONS DE LA PEUR ET DE LA DERNIERE CHANCE

 

La fin de la récreation a sonné, la peur au ventre les Centrafricains se préparent dans une tension palpable á élire democratiquement un nouveau chef d'état, ainsi que des nouveaux parlementaires.

 

En tout cas, il ne faut pas se voiler la face, c 'est une équation á plusieurs inconnues étant donné les 2 protagonistes ( Séléka et les anti balaka ) n 'ont pas présenté de candidats ce qui démontre donne le degré de la mesure du désintéressement des 2 camps pour un retour á concorde nationale.

Ce comportement laisse une porte ouverte á toute spéculation en occurrence celle d'une contestation des résultats et ouvrirait la voie á une hypothético-déductive de reprises des hostilités.

Notre pays va mal et vraiment très mal, leS Pseudos EXPERTS doivent reprendre leurs cours de stratégies de résolution des conflits au lieu de faire du copié -collé à chaque conflits africains, et je les defie tous ces experts de me prouver ici quel conflits africains ont ils résolu?

Ilustration, la cÔte d'ivoire, le nord du Congo démocratique et j'en passe des meilleurs.

Il faut être de mauvaise foi ou être très atteint D'inepties pour envisager un désarmement après les élections, faut vraiment dire aux Centrafricains,  

Par quel miracle ceux là qui n arrivent pas à sécuriser le peuple vont rentrer dans les contrées et les frontières du Tchad, du Cameroun et du Soudan pour récupérer des armes lourdes et ces kalas qui se vendent dans Bangui à 20,000CFA?

Nonobstant de la volonté et efforts du peuple centrafricain à vouloir ramener la paix via ce retour tant attendu et escompté par tous, de nombreuses zones d'ombres subsistent sur la capacité et la détermination  des candidats aux présidentielles de pouvoir rassembler et gouverner en toute quiétude. 

 

D'ailleurs posons la problématique de la gouvernance,  la constitution prévoit d 'intégrer des minorités dans les differentes sphères étatiques,  ok , ben voyons qui sera le premier pygmées Ministre.....

Le Président élu constuera t'il un gouvernement de large union nationale post crise pour apaiser

les esprits des perdants et éteindre les foyers de tensions sucités par la defaite?

Voici cher(es) compatriotes,  la luminosité de ma première analyse 

 

Patriotiquement

 

Lucé Raymond BOMONGO

Objecteur de conscience politique

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 07:28
La Centrafrique va mal et les indicateurs de performance voire Bonne gouvernance le confirme. Depuis KOLINGBA jusqu'à Ce jour, il n y a eu que du saupoudrage, une véritable mascarade de réconciliation prétexte du maintien au pouvoir des dictateurs. Comment expliquer l incompétence, la perfidité,le régionalisme, l ethnicisme, les nombreux détournements de deniers publics de nos hommes politiques? Comment expliquer le refus d' inventorier après chaque coup de force en Centrafrique et de poursuivre les délinquants à col blanc ainsi que tous les criminels économiques qui ont plongé la RCA dans un Chaos sans pareil? Tout observateur de la scène politique Centrafricaine constatera la proximité des nouveaux arrivants avec les membres des anciens régimes , dont certains reçoivent des promotions ministérielles,ou deviennent des conseillers Ministres, tandis que d' autres souvent à l étranger financent à coup de millions leur immunité? IL NE PEUT Y AVOIR DE PAIX SANS UNE VRAIE JUSTICE SOCIALE Face à de nombreuses carences dans la gestion de nos crises sociales, institutionnelles et politiques ce l'observatoire centrafricain de la bonne gouvernance sollicite une rencontre avec la Présidente de la République et Mme la Ministre de la Réconciliation dont l optique de l organisation dans les prochains jours du premier "FORUM SOCIAL DU CITOYEN"à BANGUI. Ce Forum aura pour but d' élucider les problématiques récurantes de la faillite du système politique centrafricain( prolifération exponentielle des mouvements ou partis militaro- politiques) -sensibilisation, implication ,responsabilisation de chaque leader ou acteur politique avec comme corollaire la présentation chronogrammée d'un plan commun de consensus national et retour à la paix(gouvernemental , sangaris, Misca )à Bangui et dans les provinces auprès de leurs adhérents et membres -la Culture de l 'impunité -la non prise en charge et dédommagement des victimes -Technique et Méthodologie de comment RE-VIVRE ensemble Musulman et Chrétien -de mesurer le degré de pertinence de l organisation des élections en 2015 Les questions d' ordre économique: Comment relancer l économie (Post crise) A TITRE DE RAPPEL: L'Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance n est ni mouvement ou parti politique, Nous sommes et demeurons une Entité Apolitique C est à dire une Plateforme Démocratique, Une tribune permettant l éveil et la conscience Politiques Le Président Lucé Raymond Bomongo +33760145957
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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 01:07
Diantre !!!! on se croirait dans une fiction alors que l heure est grave et qu'à coût de millions d' euros l assemblée Française vient de prolongera mission de la Sangaris, une fous de plus les services de renseignements Français ont failli. Comment peut on expliquer et propager l arrestation de NGAÏSSONA l un des bras droits de BOZIZÉ gestionnaire des Anti Balaka à Brazzaville alors que ce dernier vient de faire un démenti. Nous observateurs avertis de la scène politique Centrafricaine commençons à nous interroger sur la véracité des faits sur le terrain car même la MISCA sans vérifier et recouper l information, s est mise à travestir la réalité. Non la RCA est emprise à une crise institutionnelle,politique et sociétale qui exige une rigueur à tous points de decidabilté. Les errements et expérimentations inappropriés n 'ont pas leur raison d' 'être. Nous avons besoin des professionnels des vrais à tous les niveaux pour rétablir l ' ordre dans nos differentes institutions. Nos interrogations vont aussi à l encontre des Misca et Sangaris qui désarment les Anti Balaka et laissent les Seleka sur armés dans le Nord.
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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 20:58
COMPTE RENDU RENCONTRE DÉBAT DU 07/09/2013 SUR LA TRANSITION EN CENTRAFRIQUE   A L’HOTEL ALTON AU 107 RUE DE LA PELOUSE 33000 BORDEAUX OBSERVATOIRE CENTRAFRICAIN DE LA BONNE GOUVERNANCE                         TOUCHE PAS A MA CONSTITUTION                                                                                                                                                      La réunion a débuté à 15Hoo précises Monsieur Lucé Raymond BOMONGO, Président de l’Observatoire Centrafricain de la bonne gouvernance a présenté son association tout en faisant la genèse des activités réalisées dans le passé par cette dite association, En un mot, il a éclairé l’assistance sur l’objectif et la mission première de l’Observatoire Centrafricain de la bonne Gouvernance à savoir : la promotion de la Démocratie participative, la Paix, La sécurité, la concorde nationale, la gestion de la chose publique, la lutte contre la corruption, le crime économique, le régionalisme et le népotisme. Ce travail s’exerce en amont avec les différentes institutions internationales, les autorités locales, la diaspora, les partis politiques ainsi que toutes les couches sociales du pays. L’Observatoire Centrafricain est une plate forme démocratique ouverte à tout compatriote non encarté car c’est une association non inféodée aux partis politiques. Monsieur GONDJE Président du collectif touche pas à ma constitution a axé son exposé sur le caractère laborieux de la transition politique en Centrafrique compte tenu de l’occupation du plus grand pays par la coalition des rebelles. Ce dernier a expliqué à l’auditoire que cette situation est due par les voltes faces de l’Ex Président  BOZIZE et de la méfiance des rebelles vis-à-vis de ce dernier. Le 11 Janvier 2013, entre les protagonistes à LIBREVILLE (GABON) une solution de crise  est trouvée. Monsieur Nicolas TIANGAYE est nommé par BOZIZE,  premier  Ministre, avec la charge de constituer un gouvernement d’union nationale, composé de pléthore de Ministres, en raison des doublons nommés personnellement par ledit Président, sans concertation préalable avec  son nouveau Premier Ministre. Cette absence de loyauté entre le Président François BOZIZE et son nouveau Premier Ministre, Nicolas  TIANGAYE, la déclaration du Président BOZIZE  de se présenter à la prochaine élection Présidentielle en 2016, les turpitudes des Présidents Idriss Itno DEBY et Denis SASSOU NGUESSO ont alors conduit la rébellion à renverser le Président BOZIZE le 24 mars 2013. Monsieur Michel NDOTODJA s’autoproclame Président de la République. Le 18 avril 2013 à l’issu du 4ème sommet extraordinaire des chefs d’état et de gouvernement de la Communauté Economique des états de l’Afrique Centrale(CEEAC), le Président Idriss Itno Deby l’actuel Président en exercice de cette institution invitera toutes les parties centrafricaines impliquées dans cette crise. On notera lors de la déclaration finale du Président en exercice de la CEEAC, Idriss Itno DEBY, qui rappelle aux différentes parties, sauf  le Président François BOZIZE dont la présence n’a pas été souhaitée par les autorités du TCHAD, le respect des termes des accords de LIBREVILLE et la création d’un comité national de transition, organe législatif, chargé d’élaborer une nouvelle constitution. Cependant, un arrêté n°05 du 13 avril 2013 pris par gouvernement de transition mettra en place comité national de transition, composé de 135 membres. Ce comité par acclamation élira Michel NDOTODJIA Président de la république et le 18 juillet 2013 ce dernier prête serment devant la cour constitutionnelle et devient Président de la république. Monsieur  Lucé  Raymond BOMONGO, Président de l’Observatoire reprend la parole pour présenter officiellement Maître Joseph GNOU à l’assistance en sa qualité de membre du dit Observatoire. L’intervention de Maître Joseph GNOU est un regard critique de juriste sur la chartre constitutionnelle qu’il considère comme étant un véritable monstre constitutionnel.                                        Il fait alors remarquer que le contenu de cette chartre n’est pas juridiquement cohérent avec les engagements pris par les différentes parties à la résolution de la crise Centrafricaine en janvier  2013 à LIBREVILLE, en avril 2013 à DJAMENA et au mois de mai 2013 à BRAZZAVILLE. Ce désordre juridique créer forcément un blocage institutionnel.                                                                                                                   Ce qui est plus ahurissant c’est que les rédacteurs de la dite chartre constitutionnelle ne se sont pas rendus compte de la monstruosité juridique qu’ils créent,  lorsque l’article 29 de la chartre Constitutionnelle relatif aux pouvoirs dévolus au Président de la transition fait référence aux termes des accords de LIBREVILLE qui précisent que : 1-Pendant la transition le Président de la république ne peut révoquer le premier Ministre 2-De la même manière, les ministres ne sont pas révocables ; aucune motion de censure ne peut être déposée contre la politique du Président de la transition ; les actes du Président de la transition doivent subir le contreseing du Premier Ministre. 3-Le fait que l’article 20 des accords de LIBREVILLE précise qu’en cas de désaccords entre le Président et le Premier Ministre, ceux-ci doivent se présenter à l’arbitrage du comité de suivi. -Maître Joseph GNOU a terminé son exposé sur l’intitulé du Haut Conseil de l’Information comme un organe constitutionnel et la nécessité de sa suppression dans le projet de constitution. Il considère que le rôle de régulation d’accès aux médias par les acteurs politiques peut être assuré par une simple agence. -Monsieur Lucé Raymond BOMONGO a repris la parole pour ouvrir le débat. Celui-ci sera marqué par plusieurs interventions des participants : -Monsieur MBALA du Niger s’est demandé pourquoi la R.C.A a raté le virage de la démocratisation des années 80. IL souhaite vivement pour ce pays, la naissance d’une nouvelle société civile dynamique et responsable. IL réclame l’arrêt des exactions perpétrées par les éléments de la SELEKA. La Centrafrique doit désormais se choisir des filles et fils compétents et intègres pour la conduire vers une démocratie véritable. -Monsieur José DOMINO BOMONGO rappelle à l’occasion de son intervention, le discours de Monsieur  Eric Neris MASSI, porte parole de la SELEKA, qui avait rassuré les centrafricains de Bordeaux que la SELEKA accédait au pouvoir pour garantir au peuple centrafricain la paix et la sécurité. Il a exprimé sa désolation lorsqu’il constate qu’aujourd’hui la réalité politique en Centrafrique est loin de cette promesse de la SELEKA faite au peuple qui subit tous les jours des exactions diverses (viols, vols, tueries, tortures et pillages)                                                Ce dernier note par ailleurs que les pouvoirs en RCA se succèdent avec les mêmes erreurs. cependant,il approuve                                                                                                                                                                                la réaction des jeunes de BOY-RABE et  qualifie cette transition politique de mascarade. Il relève que comité national de transition n’est pas régulièrement constitué, tant il est composé des représentants usurpateurs aux côtés de ceux qui sont régulièrement choisis. -Monsieur José BOMONGO désigne le Président du TCHAD, Idriss Itno DEBY comme étant le seul responsable du désordre politique installé en Centrafrique depuis plusieurs années. Tout cela, selon lui à cause du pétrole Centrafricain qu’il veut en disposer à sa guise. La SELEKA aurait mieux fait de laisser la Transition entre les mains des hommes d’expérience pour organiser les prochaines élections. Il considère que l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance doit être davantage critique sur la gouvernance de notre pays et actif dans les instances du pays dans chaque combat avec des préconisations. Il déplore que le sport qui est un facteur d’unité et de paix ne puisse être soutenu. -Monsieur Simon ALALENGBI, cadre du parti politique, le Rassemblement Démocratique Centrafricain(RDC) et Président de l’association des amis de KOLINGBA, demande aux centrafricains de s’inscrire dans une dynamique de résistance contre les forces étrangères occupantes de notre pays. Le moment n’est plus à faire des discours, mais à poser des actes concrets.  « QUE CEUX QUI VEULENT ALLER MANGER PARTENT » …fin de citation -Monsieur  Jean MBALANGA se réjouit de l’initiative de l’observatoire de la Bonne Gouvernance qui travaille énormément pour faciliter et permettre des rencontres entre la diaspora et nos  différents hommes politiques. Il vilipende l’attitude de nos hommes politiques qui se donnent au vagabondage politique  conduisant notre pays dans une  instabilité institutionnelle durable. Il souligne qu’il est judicieux de promouvoir la création de plusieurs partis politiques qui seront des outils politiques indispensables pour la démocratisation de notre pays.IL  s’offusque contre la situation de notre pays qui est devenu depuis 20 ans une dépendance du TCHAD.                   « La nouvelle génération doit agir vite pour corriger cet état de chose ».                                                                                Il termine son intervention en demandant avec véhémence, l’implication de l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance dans la recherche des solutions et attentes des centrafricains. -Monsieur Fernand DONDON se demande pourquoi la RCA, pays riche en matières premières est arrivé à cette éprouvante condition. Il invite des centrafricains à faire des propositions pour sortir notre pays du chaos. Il exhorte la jeunesse centrafricaine à la résistance aux étrangers qui veulent nous dominer et de participer à un projet politique, pour conduire notre pays à la respectabilité internationale. -Monsieur GUELA Hermas Armel Précise que l’occasion offerte par l’observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance est un tremplin pour interpeller les centrafricain et les autres sur la situation de notre pays. Il se pose une multitude de questions :                                                                             1- sur la manière à laquelle nous pouvons dénoncer le contenu de la  Chatre Constitutionnelle.           2-Pouvons nous poursuivre en justice tous les financiers de la SELEKA ?                                             3-Les Centrafricains peuvent ils encore faire confiance à Monsieur Michel NDOTODJIA pour notre pays vers la démocratie ?Il termine ses propos en invitant les centrafricains à l’unité et à la mobilisation politique de notre jeunesse. -Monsieur KAMOUGUI continue dans le même sens que ses prédécesseurs, en précisant que les jeunes ne doivent pas avoir peur de s’engager politiquement. Ils doivent se regrouper et discuter des thèmes politiques précis pour une meilleure contribution. -Monsieur BRICE YAMBIO s’inscrivant dans l’analyse critique de Joseph GNOU veut connaître les noms des rédacteurs des chartres constitutionnelles et s’étonne de la promulgation de cette dernière. Il exprime un sentiment de honte, lorsque ses amis étrangers considèrent nos hommes politiques de grands enfants. Monsieur Brice Yambio déplore l’attitude de nos acteurs politiques marquée par ce qu’il qualifie de « mangecratie ». -Monsieur Clément GODAME, ironise sur les propos du Président de l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance, Monsieur Lucé Raymond BOMONGO et de Maître Joseph GNOU qu’il considère comme des soutiens de la SELEKA, pour leurs relations respectives avec Eric Néris MASSI, ancien porte parole de la SELEKA.                                                                                                         Il désigne la SELEKA comme une bande de criminels qui ne mériterait pas de recevoir une quelconque proposition pour le redressement de la Centrafrique. Il estime que,  leur faire des propositions n’est nécessaire, dans la mesure où ils ne sont là que pour 18 à 20 mois. IL renchérit en se demandant la place de l’Observatoire Centrafricain de la bonne Gouvernance dans l’échiquier politique centrafricain. -Monsieur Clément GODAME termine ses propos par une série de critiques sur les viols, vols et exactions perpétrés par les SELEKA et il en appelle à la résistance militaire, seul moyen selon lui de mettre la pression politique sur les forces étrangères occupantes. -Monsieur GODFROY  KUWA (GODE): a  mis en exergue les schémas identiques usités par  tous nos chefs d’état pour accéder à la magistrature suprême : L’ancien Président PATASSE était secouru par la force étrangère congolaise, les « BAYAMOULENGUE  ». L’autre ex Président BOZIZE est arrivé au pouvoir avec une autre force étrangère du TCHAD constituée des mêmes éléments de la SELEKA.  Aujourd’hui, le Président de la transition, Michel NDJOTODJA  est  au pouvoir par le biais de ces mêmes hommes TCHADIENS.  Il déplore ces similitudes entre les massacres des habitants de quartiers : Il rappelle qu’ à l’époque de Patassé, les quartiers bombardés étaient : KPETENE, SANGO, LAKOUANGA, BRUXELLES, PETEVO ET BIMBO,                                                                                              On constatera que la période de BOZIZE est marquée par des bombardements des provinces comme PAOUA, BETOKO etc.…  Quant à Michel NDOTODJA, son choix se porte sur les quartiers dits «  rouges » pro-BOZIZISTES  -Monsieur GODE KUWA termine ses propos par des critiques acerbes à l’encontre des hommes politiques centrafricains et il s’interroge sur la date la fin de cette transition. -Monsieur Romaric BOKO NZOUMBOU, a pour sa part déploré l’absence de leader politique en Centrafrique. Nos hommes politiques ne nous proposent pas de textes fondamentaux adaptés à la nos réalités sociales.                                                                                                                              Cependant, ils passent leur temps à faire du copier coller des lois fondamentales rédigées pour d’autres pays avec d’autres réalités sociales que les nôtres. Il note, que les coups d’états successifs ont ramené  notre pays à 50ans en arrière. Il est donc temps de démilitariser la Centrafrique et de mettre l’accent sur la formation des cadres et des technocrates. -Monsieur  Romaric BOKO NZOUMBOU, termine ses propos par une interrogation sur une hypothético –espérance en Centrafrique. -Monsieur Emmanuel MANGOT : revient sur les propos de Néris Eric MASSI tenus dans cette même salle de l’hôtel ALTON à Bordeaux,  pendant les évènements qui ont abouti au renversement de BOZIZE.  Il dit, remarquer une grande différence entre ce qui a été promis par SELEKA et ce que vivent nos compatriotes  en ce moment au pays. -Monsieur Emmanuel MANGOT s’interroge sur la présence de Maître Joseph GNOU  en qualité de membre de l’Observatoire,                                                                                                                                            Pour finir il a formulé un souhait, celui de voir les membres dirigeants de structures politiques marquer leur neutralité dans l’appréciation ou les commentaires des évènements dans notre pays.   -Monsieur Rodrigue DETOUA  attire  l’attention de l’assistance sur les conséquences économiques de cette crise qui obligent les centrafricains à dépenser beaucoup d’argent au Cameroun, -Monsieur Jude NOUGNAGA  s’interroge sur la manière à laquelle l’Observatoire pourra t’il peser vraiment sur l’échiquier politique  centrafricain, Il s’interroge comme de nombreux compatriotes Centrafricains sur les causes endogènes et exogènes de son absence aux différentes tables de négociations  au GABON, au CONGO et au TCHAD  et même à Bangui, alors que cette structure est incontournable pour notre pays ? -Monsieur Boris BASCO dénonce la main mise de la SELEKA sur tout le pays. Il exhorte comme ses prédécesseurs les centrafricains à la résistance et s’interroge sur le retour à l’ordre constitutionnel.                                                                                                                                                                  Il termine ses propos par des préconisations : le désarmement des SELEKA, la restauration des pouvoirs de l’état, la reconstruction d’une nouvelle armée nationale et la  sécurisation du pays. -Monsieur Gérard KAPEDEN, cadre politique Camerounais loue l’initiative de l’observatoire centrafricain de la bonne gouvernance. Il est convaincu que les centrafricains donnent ici dans cette somptueuse salle une bonne leçon de démocratie aux autres africains par la qualité et la sérénité du débat. Il termine ses propos en recommandant l’organisation par l’observatoire  de ce genre de débat pour toute la diaspora Africaine.                                                                                             -Monsieur Hyppolite MANGOT réfute la problématique  d’octroyer la nationalité au supplétif étrangers de la SELEKA, pour leur permettre d’intégrer nos forces armées. Il demande aux centrafricains de regarder la  configuration de la salle par rapport à la composition du gouvernement de transition. IL se dit fort étonné que les compétences de nos compatriotes de la diaspora ne puissent être exploitées par nos dirigeants. -Monsieur Robert YAMBERE, demande aux centrafricains de s’aimer et s’interroge sur notre capacité à pardonner. En bon pasteur, Il explique  que seul le pardon mutuel permettra le revivre ensemble et la consolidation de la paix, nonobstant que la plaie est profonde mais se cicatrisera lentement. -Monsieur Brice VOSSIOMAWA   veut savoir les moyens dont dispose l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance pour influer  sur le régime de transition en Centrafrique. -Monsieur Laurent BOUTOU : opérateur économique centrafricain estime que l’Observatoire Centrafricain de la bonne gouvernance a fourni une bonne prestation, mais il reste tout de même sur sa faim et ne comprend pas silence de la classe politique sur les exactions de SELEKA.  Il se demande si l’on peut poursuivre les auteurs de ces exactions devant les tribunaux de la Cour pénale internationale(CPI).Il exige des préconisations concrètes. -Monsieur OSSEI du Niger considère que le problème centrafricain ne se résout pas par les armes et déplore l’absence des centrafricaines en cette occasion car dans d’autres pays en crises, les femmes sont actives et dépolitisent le débat en mettant en exergue l’intérêt National. -Monsieur Lucé Raymond BOMONGO a repris la parole pour remercier tous les participants et d insister sur la présence massive de nos frères Africains à nos côtés il s agit des frères et soeurs de la côte d ivoire, du Congo Brazzaville, du Niger, du Tchad, du Cameroun, du Gabon, du Togo, de la République démocratique du Congo et du sénégal . Monsieur Lucé Raymond BOMONGO termine ses propos en  indiquant que désormais nous sommes appelés à nous rencontrer souvent dans l’optique d’analyser la situation politique et de formuler des préconisations concrètes du pays. La séance a été levée à 19H et un buffet de réconciliation offert aux participants. SUMM UP : Compte tenu du caractère houleux et de multiples interventions, les participants à cette rencontre exige une prochaine rencontre pour faire des préconisations. Monsieur GONDJE : estime que la diaspora est sur la bonne voie et souhaite que cette pratique démocratique d’un haut niveau puisse avoir lieu plus souvent.    Monsieur Lucé Raymond BOMONGO : relève-le manque du temps nécessaire aux traitements des préconisations. Il met ex exergue les incohérences juridiques des accords de LIBREVILLEI et II, des ACCORDS de BRAZZAVILLE et TCHAD, la CHARTRE de la TRANSITION, les petits CALCULS POLITICIENS du Président de la Transition NDOTODJA de TIANGAYE Premier Ministre et de NGUENDET  Président du Conseil National de Transition qui paralysent le pays. Il La tenue dans les jours qui suivent d’ une Conférence Nationale permettant aux centrafricains de se dire la vérité en face et de désigner démocratiquement des personnes intègres, désintéressées pouvant accompagner cette transition  pour QU elle soit véritablement démocratique.                                                                                                                                                                  Envoyé de mon iPhone 5
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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 19:45
« Qualité: le SMITer décroche la certification ISO 9001 (version 2008) | Page d'accueil | Le Beautemps-Beaupré à Saint-Malo, escale et prise de commandement » 09.08.2013 François Bozizé à Paris pour lancer le Front pour le retour de l’ordre constitutionnel en Centrafrique L’ancien chef de l’Etat centraficain, chassé du pouvoir en mars dernier, est actuellement en France. François Bozizé qui vient de lancer un Front pour le retour de l’ordre constitutionnel en Centrafrique (FROCCA), a accordé un interview à Ouest-France. Il y dénonce les exactions des rebelles de la Séléka et l’indifférence internationale face à la crise politique et humanitaire qui afflige Bangui et le reste du pays. On y  notera l'appel du pied à "la France qui a l'habitude de régler nos problèmes". Vous êtes désormais en France. En exil ? Ou dans l’attente d’un retour en RCA ? Je viens de rejoindre ma famille en France ; je n’envisage pas de retour en Afrique dans l’immédiat. Avant ? J’ai séjourné dans les deux Congo, au Cameroun et au Kenya. Je voudrais d’ailleurs remercier les présidents congolais et aussi, tout particulièrement, le président camerounais qui a fait preuve de clairvoyance et d’humanité en m’accueillant chez lui pendant plus de deux mois. Pour l’instant, mon destin importe peu. Le peuple centrafricain souffre en silence et je veux réveiller l’opinion internationale. Ma préoccupation essentielle est de dénoncer ce qui se passe en Centrafrique. Quel regard portez-vous sur la situation dans votre pays? La situation est dramatique. Les ONG présentes dans le pays n’ont de cesse de dénoncer de très nombreux cas de violations des droits de l’homme, des exécutions sommaires accompagnées de tortures et de mutilations. Elles ont aussi relevées des massacres de civil, des viols et la privation de la liberté d’expression. Le Bureau Intégré des Nations Unis en Centrafrique dénonce lui aussi de graves violations des droits de l’homme et des menaces sur les ONG. En province, les hommes de la Séléka ont tous les pouvoirs, les exécutions sont nombreuses chez les agriculteurs ou les éleveurs peuls. Plus de 1 500 morts ont été dénombrés et le fleuve Oubangui charrie tous les jours de nombreux cadavres. Sur le plan santé, la situation est déplorable, ainsi une épidémie de rougeole frappe les enfants à Bangui, mais ils ne peuvent être soignés car leurs mères ont peur de s’aventurer en ville pour les conduire à l’hôpital. Quels reproches faites-vous au président Dotodjia et à son gouvernement ? Ils sont très nombreux. Mais, le reproche principal est que le président auto-proclamé Dotodjia veut islamiser notre pays. Dans une nation chrétienne à plus de 90%, c’est grave, très grave même. Avant l’arrivée de la Séléka, les Chrétiens et la minorité musulmane vivaient en bonne entente. Maintenant, les Chrétiens sont persécutés. A la sortie de leurs lieux de culte, ils sont souvent molestés et dépouillés. Les églises sont pillées, voire détruites comme cela a été le cas à plusieurs reprises en province. Un autre exemple de la déchristianisation de la Centrafrique : l'élevage des porcs et sa consommation ont été interdits par les hommes de la Séléka en province. Ils ont aussi interdit la consommation de la viande boucanée. Plus grave encore, on assiste aussi à la conversion forcée à l’islam de jeunes chrétiens, avec l’obligation de porter le chapelet islamique. Comment analysez-vous la défaite militaire qui a conduit à la prise de Bangui ? L’armée centrafricaine a été défaite non pas parce qu’elle manquait de courage, mais parce que elle se battait contre une armée équipée et financée par des Etats riches, dont le Tchad et le Soudan. D’ailleurs, les combattants de la Séléka étaient majoritairement des étrangers, la preuve est que très peu d’entre eux parlaient le sango ou le français, nos deux langues officielles. Maintenant, notre pays est passé sous le joug de bandits qui ne s’entendent pas. Malheureusement, en participant au gouvernement de monsieur Dotodjia, certains de mes compatriotes sont devenus des collaborateurs, et ce, soit par intérêt, soit parce qu’ils pensent à tort pouvoir peser sur la politique de l’occupant qui est totalement rejeté par le peuple. Quels sont vos projets ? Ma situation personnelle importe peu, c’est le devenir de la nation centrafricaine qui m’inquiète. En tant que seul ancien chef d’Etat centrafricain encore vivant, je me dois de dénoncer les crimes de ceux qui oppriment mes concitoyens. Aussi, je voudrais interpeller tous les chefs d’Etat de la sous-région, les démocraties européennes et bien sûr la France qui a l’habitude de régler nos problèmes, pour leur demander de nous aider à faire partir ces bandits et rétablir la légalité constitutionnelle.
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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 07:04
La Communauté internationale suggère un départ anticipé de la transition centrafricaine 2 août, 2013 | Par kangbi-ndara | Catégorie: Société | 19 vues A en croire les dires d’un poids lourd de la diplomatie internationale à Bangui, les tenants du pouvoir de la transition politique centrafricaine actuelle seraient dans le collimateur de la Communauté internationale qui serait désormais décidée à remettre de l’ordre en Centrafrique. Selon ce diplomate internationale, il n’est plus question pour la Communauté internationale de jouer le rôle de simple observateur dans la gestion de la crise centrafricaine.  «  Avec le coup de force du 24 mars 2013 marqué par le renversement des institutions démocratiques, nous avons cru tourner la page de la crise sécuritaire et humanitaire qui a régné sur plus de la moitié du pays depuis e début des hostilités Séléka au mois de décembre 2012. Mais hélas…la situation humanitaire s’est empirée et ne cesse de se dégrader avec son corolaire l’insécurité ambiante sur l’ensemble du pays », a déclaré cette personnalité étrangère. Le diplomate d’indiquer que «  du moment où le dossier de la transition malienne arrive à terme et que l’union africaine a sollicité l’implication de la Communauté internationale dans la mise en œuvre de la transition en RCA. Il est temps de faire comprendre au Gouvernement et aux principales autorités de ce pays qu’ils ont le choix entre le strict respect des engagements pris dans le cadre de transition ; soit ils rectifient le tir, soit ils anticipent leur départ aux commandes de l’Etat pour laisser la place à certaines compétences qui seront en mesure de ramener la paix sur l’ensemble du territoire ; et remettre le pays dans un régime crédible des institutions démocratiques et ce, dans un délai relativement court que prévu ». D’après le président du Parti Républicain Centrafricain (PRC) Jacques Ngoli, une telle suggestion résulterait de la volonté politique des meneurs de la transition centrafricaine de rendre élastique la durée recommandée par les Chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) et confirmée par le Groupe contact international (GIC). Evidemment, une source proche de la Présidence de la République centrafricaine et même a affirmé que la transition centrafricaine ne débutera qu’une fois que le Président de transition, Michel Djotodia prêtera sermon ; c’est-à-dire après la mise en place du Conseil constitutionnel de transition et du Haut conseil de communication. Pour le comble, une attention particulière de la Communauté internationale sur la situation centrafricaine serai la bienvenue pour fondre à temps le béton de l’insécurité fixé sur l’ensemble du territoire par le régime déchu et la coalition Séléka au pouvoir. Article de Jean Lui Motondi récrit par Kangbi-Ndara.net
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