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8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 01:01
Kabila : le cynisme d’une rumeur officielle !
Par Raymond Luaula
Espace photo

Quand la rumeur communément appelée « radio trottoir » au Congo à démocratiser est créée et entretenue par ceux qui disposent de l’imperium et abusent de la puissance publique, le cynisme se mêle au sadisme et on ne peut qu’avoir de l’aversion pour cette gouvernance qui semble relever du gangstérisme politique.

 

 

Que pendant deux jours des chiens de garde du kabilisme distillent le venin de l’intoxication par le net pour créer dans l’opinion une psychose due à une imaginaire séquestration de Joseph Kabila Kabange en Angola à la suite d’un mécontentement de ses alliés angolais qui n’auraient pas été rétribués « comme il le fallait » à la suite du soutien apporté autrefois à son régime d’essence étrangère, il y a lieu de noter que le scénario est très beau pour être vrai. Dans ce monde où le virtuel peut être confondu au réel, les bonzes du PPRD-AMP ne se sont pas arrêtés en si bon chemin. Ils ont annoncé que leur boss serait introuvable depuis mardi dernier et pourrait avoir été assassiné.

 

 

Se rappelant le mystère qui avait entouré l’assassinat de Laurent-Désiré Taratibu Kabila ka Makolo, tué au Palais de Marbre à Kinshasa et dont le corps a été acheminé à Harare pour y être « soigné », étant donné qu’il n’avait qu’été légèrement blessé selon le mensonge officiel ; Congoone a voulu en avoir le cœur net.

 

 

Les milieux kabilistiques de Kinshasa contactés affirment que le mari d’Olive Lembe se porte comme un charme. Un conseiller d’un gouverneur de province qui a pris part samedi 3 mars à une réunion de l’AMP à Kinshasa a affirmé sans ambages qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une intox. Un conseiller à la présidence de la République qui s’est confié ce dimanche à notre correspondant occasionnel à Kinshasa ne s’est pas offusqué de souligner que la rumeur en cause ne relève pas d’une génération spontanée.

 

 

Voilà qui met la puce à l’oreille ! En fait, ladite rumeur est un arbre un cache la forêt. A la suite des fâcheries entre la garde de Kabila Kabange affectée à l’aéroport de Ndjili et celle de Jean-Pierre Bemba mises en exergue la semaine dernière par notre perspicace consoeur « La Tempête des Tropiques », une éminence grise du régime policier de Kinshasa affirme la main sur le cœur que la meilleure manière de « mettre fin à la récréation » c’est de lancer l’assaut final contre la garde personnelle de Bemba Gombo qui doit être désarmée et réduite dans la proportion décidée pour tous les ex-présidents.

 

 

Donné pour mort, Kabila Kabange pourra-t-il « ressuscité » à la suite de cette action commando ? Au lieu d’en rire, il faut en pleurer.

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7 mars 2007 3 07 /03 /mars /2007 20:47

L'IMBROGLIO MISKINE

Ou va la République centrafricaine? droit dans le mur en témoignent les rapports des déclinologues africains...

Pourquoi tant d'hésitations et d'incohérences dans la gestion de la crise sociale,politique qui secouent le pays de Barthélemy Boganda ?

Devrons nous croire que nos leaders politiques n'ont point la poigne, la clairvoyance de Jean Bedel BOKASSA; qui certes, dictateur dans l'âme mais avait une certaine maîtrise de l'état nation ?

comment peut on fouler des pieds la constitution votée par le peuple qui prévoit le réglèment des conflits inter centrafricains?

Comment peut on négocier avec un rebelle qui a versé du  sang du paisible peuple centrafricain sans pour autant que ce dernier puisse s'excuser ouvertement à toute la popuplation massacrée pour assouvir son égocentrisme?

Pourquoi ne pas procéder à l'ivoirienne c'est à dire au dialogue direct avec toutes les parties concernées dans ce conflit qui paralyse depuis 20 ans le pays?

Doit on faire confiance à nos hommes politiques du passé qui nous tiennent par la barbe et accentuent le degré de paupérisation du peuple centrafricain?

Comment expliquer à un peuple qui a tant donné et souffert pour retrouver la paix  et ne voit que la misére à la place de toutes ces promesses électoralistes?

Comment expliquer à nos enfants que notre pays est riche et que nous sommes pauvres quel paradoxe? sommes nous vraiment pauvres ou tout simplement que le pays est affecté par la mal gouvernance ?

Il est plus aisé de critiqué les actions gouvernementales si toutefois elles existaient, mais sans plonger dans la politique politicienne peut on parler d'une opposition constructive voire une prise de conscience de la société civile dans un pays qui distille la haine méprésive, l'ethnicisme,le népotisme, la corruption étatisée?

L'avenir sera t'il un jour meilleur pour la nouvelle génération bradée et poussée à s'expatrier ?

compatriotes, réveillez vous !!! Ce pays nous appartient à nous tous et nous devons nous reconcilier, réapprendre à vivre ensemble dans l'optique de créer cet influx patriotique qui nous fait defaut....

Raymond BOMONGO

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 23:00

Les déçus du coup d’Etat -
"Quand on participe à un coup d’Etat, on a des droits:" Mahamat explique ainsi la grogne des anciens "libérateurs", qui avaient aidé François Bozizé (photo) à prendre le pouvoir en 2003 en Centrafrique et s’estiment aujourd’hui délaissés, au point parfois de rejoindre la rébellion.
 
Mahamat, 42 ans, a été démobilisé en 2005 et s’est converti à la vie civile. D’emblée, il précise: "je ne suis pas contre Bozizé. Je ne connais personne au sein de la rébellion".
 
Ce qui se passe dans le nord-est de la Centrafrique, où les rebelles de l’Union des forces démocratiques pour le rassemblement (UFDR), dirigés par d’autres "ex-libérateurs", ont tourné le dos à l’actuel chef de l’Etat, ce père de quatre enfants assure l’apprendre "par les médias".
 
Pour autant, Mahamat n’entend pas ranger sa rancoeur au placard. "Un coup d’Etat, ce n’est pas un jeu d’enfants. Quand quelqu’un y prend part, il faut après l’aider à refaire sa vie", plaide-t-il.
 
En guise d’aide, cet ancien combattant qui dit s’être battu "en première ligne" pour la prise de Bangui, le 15 mars 2003, affirme n’avoir reçu que 225.000 francs CFA (340 euros) financés par le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). "On nous avait promis plus", soupire-t-il. "On se sent abandonnés, il y a beaucoup d’ingratitude".
 
D’autant qu’une mauvaise réputation colle à la peau des "ex-libérateurs". "Ils se croient tout permis, ils braquent, ils tuent, ils violent dans une impunité totale", dénonce un défenseur des droits de l’Homme.
 
"Ce sont des cas isolés", rétorque Mahamat.
 
Plusieurs centaines de "libérateurs" ont accompagné, à partir du sud du Tchad, l’ex-rebelle Bozizé dans sa marche triomphale qui lui a permis de renverser le président Ange-Félix Patassé. Une partie d’entre eux a été incorporée dans l’armée. Les autres, démobilisés, s’estiment lésés.
 
En avril 2004, la grogne a failli exploser. Un noyau dur a bloqué la sortie nord de Bangui, et une fusillade avec les militaires a fait plusieurs morts.
 
Finalement, près de 300 ex-combattants ont été ramenés en province, en échange d’un pécule de 300.000 francs CFA (450 euros), et une douzaine de meneurs de la fronde ont été mis à l’écart au Tchad. Parmi eux, les capitaines Abakar Sabone et Diego Yao, qui ont depuis pris le maquis pour créer l’UFDR.
 
En lançant leur rébellion le 30 octobre, ces "ex-libérateurs" ont dit tout le mal qu’ils pensaient du président Bozizé, leur ancien mentor. Ils ont aussi évoqué une autre revendication: avoir un Premier ministre issu de la minorité musulmane.
 
"Il y avait beaucoup de musulmans parmi nous en 2003. Tous ceux qui étaient devant, l’arme à la main", se souvient l’un d’entre eux, qui dit vouloir oublier le passé et élève des lapins à Bangui. "Mais maintenant, au gouvernement, c’est le contraire, les musulmans sont mal lotis", ajoute-t-il sous couvert de l’anonymat.
Le problème, dit-il, c’est que les Centrafricains de sa confession, souvent d’origine tchadienne, ne sont pas respectés -- une raison qui les avait poussés à rejoindre en masse la rébellion contre Patassé.
 
"Je ne demande pas d’argent, juste des papiers. Je n’ai pas de carte d’identité, alors que je suis né dans cette concession", s’indigne-t-il.
 
"On est mal vus, on nous considère comme des étrangers à cause de notre religion", renchérit Mahamat, fils d’immigrés tchadiens. Pourtant, malgré ces griefs, il ne regrette pas son parcours et salue l’intervention française pour repousser les rebelles. "Bozizé vaut encore la peine d’être sauvé", lâche-t-il avec un sourire ironique.

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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 22:55
 
APA - Kampala (Ouganda) La délégation des rebelles de l’Armée de Résistance du seigneur (LRA) aux pourparlers de paix de Juba a accepté de retourner au nord de l’Ouganda pendant la période de Noël, pour rencontrer les populations locales terrorisées par ces deux décennies d’insurrection.

Le chef de la délégation du gouvernement ougandais aux pourparlers de Juba, Ruhakana Rugunda, a dit au téléphone d’une radio locale, mercredi, que la visite devrait aider les rebelles à prouver leur bonne volonté à trouver une solution définitive à ce conflit qui sévit au nord de l’Ouganda.

« La délégation rebelle organisera des meetings sur la paix et s’adressera publiquement aux populations locales.

Le chef de la délégation rebelle, Martin Ojul, a accepté d’être à la tête de sa délégation pour le voyage dans la ville nordique de Gulu, le 23 décembre prochain, » a-t-il dit.

Pendant ce temps, les parties aux négociations de paix ont signé un projet de dédommagement des populations de l’Ouganda du nord qui ont perdu des milliers de têtes de bête pendant l’insurrection. L’évaluation des prix commencera dès que les négociations prendront fin, a dit M.Rugunda.

Les acteurs ont aussi sanctionné le « droit à l’égalité des chances » qui explique clairement les privilèges des rebelles aux côtés des forces du gouvernement.

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8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 17:14
  FOCUS SUR L'ACTUALITÉ

L’ancien PM centrafricain nie toute implication dans la rébellion en RCA
(APA 08/12/2006)
( 08/12/2006)


APA - Paris (France) Martin Ziguele, l’ancien premier ministre et président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc) nie toute implication de son mouvement dans la rébellion armée qui, depuis plusieurs semaines, cherche à déstabiliser le régime en place à Bangui, depuis le nord-est du pays.

« Mon parti n’a joué aucun rôle, ni de près ni de loin dans les évènements qui se déroulent dans certaines régions centrafricaines », a déclaré Ziguele au cours d’une conférence de presse donnée mercredi soir à Paris.

Selon l’ex-candidat arrivé au second tour de l’élection présidentielle de mars 2005, le mouvement qu’il dirige, a choisi d’inscrire son action politique dans le « cadre des institutions » de la République et « condamne tout recours à la force armée pour accéder ou se maintenir au pouvoir ».

« Nous nous battons de façon pacifique pour arriver au pouvoir » et par conséquent « nous ne soutiendrons aucune rébellion armée », a-t-il expliqué pour couper court aux rumeurs sur la participation du Mlpc à la rébellion qui cherche à renverser le régime du Général François Bozize, au pouvoir depuis mars 2003.

Minimisant les effets de la crise du Darfour sur ce qui se passe actuellement en Centrafrique, Martin Ziguele pense plutôt que la « mal gouvernance » ainsi que « l’absence de mécanismes de régulation des conflits » sont les causes principales de la crise que vit son pays.

« Ce sont les conditions de gouvernance et la faiblesse des institutions nationales qui profitent aux manipulations extérieures et aux tentatives d’ingérence », a notamment indiqué le leader du Mlpc, très critique à l’égard de l’actuel chef de l’Etat François Bozizé dont il a souligné « l’incompétence ».

Le leader de l’opposition centrafricaine dénonce notamment la « gestion clanique » de l’Etat, le « pillage des ressources du pays et la généralisation de l’affairisme au sommet du pouvoir », citant à titre d’exemple, la signature des contrats miniers, pétroliers et forestiers.

Martin Ziguele a, en outre, déploré « l’usage systématique de la force » par François Bozizé qu’il accuse de se comporter « comme un chef rebelle », contre les populations civiles des régions d’où est partie la rébellion.

« De véritables expéditions punitives sont organisées contre les populations de ces régions avec toujours le même scénario » a affirme Ziguélé, ajoutant : « on attaque des villages, on brûle les maisons et on tire à vue sur tout ce qui bouge, obligeant des milliers d’habitants à se réfugier dans la brousser et créant ainsi une situation de quasi terreur », a-t-il déclaré.

Tout en rejetant « les violences d’où qu’elles viennent », l’opposant a estimé que les solutions aux problèmes que vit la Centrafrique ne peuvent être envisagée que dans le « cadre d’un dialogue inclusif » et de la « concertation » en conformité avec la constitution et les lois de la République.

Le leader du Mlpc a appelé la France à « redoubler d’efforts » pour sortir son pays de la « situation chaotique » que vit la Centrafrique. Selon lui, « la France a les moyens d’imposer un règlement de la crise ».

M. Ziguele a été, entre avril 2001 et mars 2003, le premier ministre de l’ancien président Ange-Félix Patassé.

Il s’était exilé en France à la suite du coup d’Etat qui a renversé le régime de Patassé. Ce dernier qui vit actuellement à Lomé (Togo) est au nombre des personnes et mouvements accusés par le pouvoir à Bangui de financer ou organiser la rébellion armée dans la partie centrafricaine à la frontière avec le Soudan.


LD/ib/APA
07-12-2006


© Copyright APA

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6 décembre 2006 3 06 /12 /décembre /2006 00:22

Museveni en protecteur de Kagame - 5/12/2006
Le président ougandais Yoweri Museveni (photo) a pris la défense mardi de son homologue rwandais Paul Kagame, soupçonné, dans un rapport du juge français Jean-Louis Bruguière, d'être impliqué dans l'attentat qui a coûté la vie en 1994 au président rwandais de l'époque Juvénal Habyarimana.
 
"Ces Européens ne sont pas sérieux (...). Ils devraient vraiment ne pas s'approcher des affaires de l'Afrique (parce qu') ils ont leurs propres problèmes", a déclaré M. Museveni lors d'une conférence de presse à Kampala.
 
A la suite du rapport du juge Bruguière sorti en novembre, le Rwanda a rompu ses relations diplomatiques avec la France. M. Kagame a rejeté les allégations du magistrat qu'il a qualifié d'"imposteur".
 
L'attentat au-dessus de Kigali contre l'avion qui transportait M. Habyarimana, un Hutu, a servi de déclencheur au génocide.
 
Les massacres ont fait, selon l'ONU, environ 800.000 morts, parmi la minorité tutsie et les Hutus modérés. L'ex-rébellion du Front patriotique du Rwanda (FPR), essentiellement tutsie et dirigée par M. Kagame, a mis fin au génocide en juillet 1994. Elle était basée en Ouganda et armée par le régime de M. Museveni.
 
"Où étaient les Français pendant le génocide de 1959 et où étaient les Français quand le génocide de 1994 a été commis", a lancé M. Museveni.
Kigali accuse Paris d'avoir entraîné et armé les auteurs du génocide de 1994 et d'avoir facilité la fuite des responsables des massacres dans le cadre de son opération militaro-humanitaire au Rwanda. La France a toujours rejeté ces accusations.
 
MM. Kagame et Museveni ont combattu ensemble dans les années 80 en Ouganda. L'actuel président rwandais fait partie des fondateurs de la rébellion ougandaise de l'Armée nationale de résistance (NRA) qui a lutté, sous le commandement de M. Museveni, contre le régime du despote ougandais Milton Obote et l'a renversé en 1986

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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 23:04

LETTRE OUVERTE DE L'ANTENNE EUROPE DU COMITE DE SUIVI DES ACTES DU DIALOGUE NATIONAL

LETTRE OUVERTE DE L'ANTENNE EUROPE DU COMITE DE SUIVI DES AC...
LETTRE OUVERTE DE L'ANTENNE EUROPE DU COMITE DE SUIVI DES ACTES DU DIALOGUE NATIONAL

Chers (es) compatriotes,

Notre très cher Pays, connaît depuis quelques semaines des troubles politico-militaires accentués.
Des hommes en armes appartenant à des mouvements rebelles ont cru bien faire d'occuper des villes dans la région nord-ouest pour se faire entendre et revendiquer le partage du pouvoir. Cette situation qui a constitué un véritable bras d'honneur aux autorités nationales et qui a mis à mal l'intégrité du territoire national nous a interpellé tous sur trois points essentiels.

1) Le recours aux armes pour le règlement des conflits politiques qui ouvre la voie à une nouvelle manière de contester les pouvoirs de l'Etat.
L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National en tant qu'organe de suivi ne peut que déplorer ce qui constitue une violation des recommandations fortes du dialogue national qui préconise le règlement de tous nos conflits par la concertation et le dialogue.
Le dialogue républicain souhaité et recommandé par la nation ne doit pas être imposé par les armes.

2) L'occupation d'une partie du territoire national par des mouvements rebelles qui constitue une atteinte à l'honneur national et un grand danger pour l'unité nationale.
Garantir la sécurité au peuple Centrafricain et l'inviolabilité des frontières nationales est la mission première des forces armées. C'est pour l'Etat une question d'autorité Républicaine.
La reconquête par l'armée des localités ayant échappé entre temps au contrôle de l'Etat doit être un signal qui permettra dorénavant de comprendre qu'il n'est plus autorisé de bafouer
impunément les termes de la constitution de la République et les règles que nous avons nous mêmes établis. L'institution de l'Etat qu'est l'armée doit agir en toute neutralité et conformément à ses missions.

3) La violation de la constitution et le non respect des recommandations du dialogue national qui sont inacceptables.
Nous ne pouvons pas continuer à entrer dans la culture démocratique en reculant.
L'ordre constitutionnel normal rétabli le 11 juin 2005 s'impose à tous. La violation de la loi fondamentale par le recours aux armes pour la conquête du pouvoir de l'Etat est dénoncée ici avec la plus grande fermeté.
En revanche, nous rappelons notre ferme volonté de vivre dans une République apaisée et réconciliée avec elle-même.
La démocratie, c'est le vivre ensemble dans la diversité, diversité de cultes, diversité d'opinions et diversité culturelle. Elle suppose un dialogue permanent tout en assurant la place de la contradiction, de la contestation et de la dialectique.

L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National en appelle aux autorités centrafricaines, à toutes les composantes de la nation pour qu'elles agissent avec responsabilité, discernement et dans le respect absolu des textes et règlements que nous avons nous-mêmes mis en place.
L'efficacité de l'armée sur le terrain doit venir en appui de l'action politique.
Il faut oeuvrer pour une solution durable qui est indissociable d'un processus politique.

L'Antenne Europe rejoint le Comité de Suivi dans sa demande auprès du Chef de l'Etat de privilégier le Dialogue.
1


La position des Présidents Omar BONGO ONDIMBA du Gabon et Denis SASSOU NGUESSO du Congo qui ont plaidé fortement pour une action militaire à PARIS laisse penser la crainte d'un effet domino dans la sous région. Mais nous ne pouvons pas accepter que notre Pays devienne un champ de bataille qui garantit la Paix à nos voisins.

L'Antenne Europe du Comité de Suivi pense que repousser la rébellion par les armes, sans revenir aux vrais problèmes qui conduisent à ce recours aux armes, c'est soigner les métastases en ignorant la tumeur cancéreuse qui en constitue la véritable cause.

L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National, qui n'entend pas faillir à sa mission, en appelle aux autorités politiques Centrafricaines pour la tenue d'une Table Ronde afin de trouver des solutions durables et pour une Réconciliation Véritable qui seules, permettront aux Centrafricains et aux Centrafricaines de vivre dans une CENTRAFRIQUE apaisée et au Travail.



Maguy BARTHABURU
Présidente de l'association Manassé
Antenne Europe du Comité de Suivi
des Actes du Dialogue National










CENTRAFRIQUE NEWS - CENTRAFRIQUE OPINION LE DEVOIR DE VOUS INFORMER

PARLEZ EN AUTOUR DE VOUS
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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 17:02

LETTRE OUVERTE DE L'ANTENNE EUROPE DU COMITE DE SUIVI DES ACTES DU DIALOGUE NATIONAL

 

 

    

 Chers (es) compatriotes,

 

Notre très cher Pays, connaît depuis quelques semaines des troubles politico-militaires accentués.
Des hommes en armes appartenant à des mouvements rebelles ont cru bien faire d'occuper des villes dans la région nord-ouest pour se faire entendre et revendiquer le partage du pouvoir. Cette situation qui a constitué un véritable bras d'honneur aux autorités nationales et qui a mis à mal l'intégrité du territoire national nous a interpellé tous sur trois points essentiels.
 
1) Le recours aux armes pour le règlement des conflits politiques qui ouvre la voie à une nouvelle manière de contester les pouvoirs de l'Etat.
L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National en tant qu'organe de suivi ne peut que déplorer ce qui constitue une violation des recommandations fortes du dialogue national qui préconise le règlement de tous nos conflits par la concertation et le dialogue.
Le dialogue républicain souhaité et recommandé par la nation ne doit pas être imposé par les armes.
 
2) L'occupation d'une partie du territoire national par des mouvements rebelles qui constitue une atteinte à l'honneur national et un grand danger pour l'unité nationale.
Garantir la sécurité au peuple Centrafricain et l'inviolabilité des frontières nationales est la mission première des forces armées. C'est pour l'Etat une question d'autorité Républicaine.
La reconquête par l'armée des localités ayant échappé entre temps au contrôle de l'Etat doit être un signal qui permettra dorénavant de comprendre qu'il n'est plus autorisé de bafouer

 

impunément les termes de la constitution de la République et les règles que nous avons nous mêmes établis. L'institution de l'Etat qu'est l'armée doit agir en toute neutralité et conformément à ses missions.

 

 

3) La violation de la constitution et le non respect des recommandations du dialogue national qui sont inacceptables.
Nous ne pouvons pas continuer à entrer dans la culture démocratique en reculant.
L'ordre constitutionnel normal rétabli le 11 juin 2005 s'impose à tous. La violation de la loi fondamentale par le recours aux armes pour la conquête du pouvoir de l'Etat est dénoncée ici avec la plus grande fermeté.
En revanche, nous rappelons notre ferme volonté de vivre dans une République apaisée et réconciliée avec elle-même.
La démocratie, c'est le vivre ensemble dans la diversité, diversité de cultes, diversité d'opinions et diversité culturelle. Elle suppose un dialogue permanent tout en assurant la place de la contradiction, de la contestation et de la dialectique.


L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National en appelle aux autorités centrafricaines, à toutes les composantes de la nation pour qu'elles agissent avec responsabilité, discernement et dans le respect absolu des textes et règlements que nous avons nous-mêmes mis en place.
L'efficacité de l'armée sur le terrain doit venir en appui de l'action politique.
Il faut oeuvrer pour une solution durable qui est indissociable d'un processus politique.

 

 

L'Antenne Europe rejoint le Comité de Suivi dans sa demande auprès du Chef de l'Etat de privilégier le Dialogue.

 

                                                                                                                                                         1

 

 

 

La position des Présidents Omar BONGO ONDIMBA du Gabon et Denis SASSOU NGUESSO du Congo qui ont plaidé fortement pour une action militaire à PARIS laisse penser la crainte d'un effet domino dans la sous région. Mais nous ne pouvons pas accepter que notre Pays devienne un champ de bataille qui garantit la Paix à nos voisins.
 
L'Antenne Europe du  Comité de Suivi pense que repousser la rébellion par les armes, sans revenir aux vrais problèmes qui conduisent à ce recours aux armes, c'est soigner les métastases en ignorant la tumeur cancéreuse qui en constitue la véritable cause.

L'Antenne Europe du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National, qui n'entend pas faillir à sa mission, en appelle aux autorités politiques Centrafricaines pour la tenue d'une Table Ronde afin de trouver des solutions durables et pour une Réconciliation Véritable qui seules, permettront aux Centrafricains et aux Centrafricaines de vivre dans une CENTRAFRIQUE apaisée et au Travail.

 

 

 

 

                                                                                     Maguy BARTHABURU

Présidente de l’association Manassé

 

                                                                                                   Antenne Europe du Comité de Suivi

 

                                                                                          des Actes du Dialogue National

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                               

 

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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 15:53
A l’ère du changement: Combien gagne Boni Yayi ?
(Fraternité 05/12/2006)
( 05/12/2006)


Combien perçoit notre Chef de l’Etat depuis le 6 avril dernier qu’il a pris les rênes du pays ? A quel montant est établie sa liste civile, son salaire ? Combien a-t-il déjà reçu, pour tous les travaux qu’il effectue, lui qui ne fait que voyager pour aller rencontrer les investisseurs afin de faire de notre pays un lieu sûr d’investissement, pour que l’argent rentre dans le pays, pour que l’argent recommence à circuler ? Jusque-là, il n’a encore rien perçu. Oui, Boni Yayi n’a encore rien empoché comme argent provenant des caisses de l’Etat, apprend-on de source bien informée. Pourtant, il a bien droit à un salaire. Ses prédécesseurs en ont pris. Pourquoi pas lui ? En tout cas, pourquoi n’en a-t-il pas pris jusque-là ? Est-ce normal qu’il en soit ainsi ? Du moins, pourquoi c’est ainsi ? Y a-t-il un problème en ce qui concerne les états y relatifs au niveau du ministère des finances ?

Il nous revient même qu’à l’occasion de certains de ses voyages, en l’occurrence ceux qui ne sont pas sur invitation mais qu’il a initiés lui-même, il lui serait déjà arrivé de payer certains de ses frais de sa propre poche. Ce qui n’est évidemment pas le cas des autres membres de sa délégation. Est-ce le souci d’amoindrir les dépenses de l’Etat ? C’est vrai que certains crient déjà à la multiplicité des voyages.

C’est vrai aussi qu’on a connu par le passé une situation de hautes personnalités de l’Etat qui durant tout leur mandat, n’ont pas perçu leur salaire : Me Adrien Houngbédji, Président de l’Assemblée nationale durant la première législature et Séverin Adjovi, 2e Vice Président de l’Assemblée nationale durant la première législature. On le leur a reproché après. Certains ont même estimé qu’ils auraient dû toucher le salaire et le verser dans un compte au profit de la jeunesse ou d’œuvres sociales. On n’en demande pas tant à Boni Yayi. Mais qu’il prenne aussi son salaire. Tout travail mérite un salaire. Il y a bien droit.



Publié le 5 décembre 2006 par Charles Blanchard ANAGO

© Copyright Fraternité

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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 12:59

LE POLYMORPHISME DEMOCRATIQUE CENTRAFRICAIN ACTE I

LE POLYMORPHISME DE LA DEMOCRATIE CENTRAFRICAINE ACTE I
PREMIERE PARTIE - LES PRINCIPES DE LA DEMOCRATIE

1. La démocratie est un idéal universellement reconnu et un objectif fondé sur des valeurs communes à tous les peuples qui composent la communauté mondiale, indépendamment des différences culturelles, politiques, sociales et économiques. Elle est donc un droit fondamental du citoyen, qui doit être exercé dans des conditions de liberté, d'égalité, de transparence et de responsabilité, dans le respect de la pluralité des opinions et dans l'intérêt commun.

2. La démocratie est à la fois un idéal à poursuivre et un mode de gouvernement à appliquer selon des modalités traduisant la diversité des expériences et des particularités culturelles, sans déroger aux principes, normes et règles internationalement reconnus. Elle est donc un état, ou une condition, sans cesse perfectionné et toujours perfectible dont l'évolution dépend de divers facteurs, politiques, sociaux, économiques et culturels.

3. En tant qu'idéal, la démocratie vise essentiellement à préserver et promouvoir la dignité et les droits fondamentaux de l'individu, à assurer la justice sociale, à favoriser le développement économique et social de la collectivité, à renforcer la cohésion de la société ainsi que la tranquillité nationale et à créer un climat propice à la paix internationale. En tant que forme de gouvernement, la démocratie est le meilleur moyen d'atteindre ces objectifs; elle est aussi le seul système politique apte à se corriger lui-même.

4. Il ne saurait y avoir de démocratie sans un véritable partenariat entre hommes et femmes dans la conduite des affaires publiques où hommes et femmes agissent dans l'égalité et la complémentarité, s'enrichissant mutuellement de leurs différences.

5. L'état de démocratie garantit que les processus d'accession au pouvoir et d'exercice et d'alternance du pouvoir permettent une libre concurrence politique et émanent d'une participation populaire ouverte, libre et non discriminatoire, exercée en accord avec la règle de droit, tant dans son esprit que dans sa lettre.

6. La démocratie et les droits énoncés dans les instruments internationaux visés dans le préambule sont consubstantiels. Ces droits doivent donc être réellement appliqués et leur juste exercice doit être assorti de responsabilités individuelles et collectives.

7. La démocratie est fondée sur la primauté du droit et l'exercice des droits de l'homme. Dans un Etat démocratique, nul n'est au-dessus de la loi et tous les citoyens sont égaux devant elle.

8. La paix et le développement économique, social et culturel sont autant la condition que le fruit de la démocratie. Il y a véritablement interdépendance de la paix, du développement, du respect de l'état de droit et des droits de l'homme.


DEUXIEME PARTIE - LES ELEMENTS ET L'EXERCICE D'UN GOUVERNEMENT DEMOCRATIQUE

9. La démocratie repose sur l'existence d'institutions judicieusement structurées et qui fonctionnent ainsi que d'un corps de normes et de règles, et sur la volonté de la société tout entière, pleinement consciente de ses droits et responsabilités.

10. Les institutions démocratiques ont pour rôle d'arbitrer les tensions et de maintenir l'équilibre entre ces aspirations concurrentes que sont la diversité et l'uniformité, l'individuel et le collectif, dans le but de renforcer la cohésion et la solidarité sociales.

11. Fondée sur le droit de chacun de participer à la gestion des affaires publiques, la démocratie implique l'existence d'institutions représentatives à tous les niveaux et notamment d'un Parlement, représentatif de toutes les composantes de la société et doté des pouvoirs ainsi que des moyens requis pour exprimer la volonté du peuple en légiférant et en contrôlant l'action du gouvernement.

12. L'élément clé de l'exercice de la démocratie est la tenue à intervalles périodiques d'élections libres et régulières permettant l'expression de la volonté populaire. Ces élections doivent se tenir, sur la base du suffrage universel, égal et secret, de telle sorte que tous les électeurs puissent choisir leurs représentants dans des conditions d'égalité, d'ouverture et de transparence qui stimulent la concurrence politique. C'est pourquoi les droits civils et politiques sont essentiels, et plus particulièrement, le droit de voter et d'être élu, le droit à la liberté d'expression et de réunion, l'accès à l'information, et le droit de constituer des partis politiques et de mener des activités politiques. L'organisation, les activités, la gestion financière, le financement et l'éthique des partis doivent être dûment réglementés de façon impartiale pour garantir la régularité des processus démocratiques.

13. L'une des fonctions essentielles de l'Etat est de garantir à ses citoyens la jouissance des droits civils, culturels, économiques, politiques et sociaux. La démocratie va dès lors de pair avec un gouvernement efficace, intègre, transparent, librement choisi et comptable de sa gestion.

14. Etre comptable devant les citoyens, élément essentiel de la démocratie, s'applique à tous les détenteurs, élus et non élus, de la puissance publique et à tous ses organes, sans exception. Cela se traduit par le droit du public d'être informé des activités des pouvoirs publics, de leur adresser des requêtes et de demander réparation par le biais de mécanismes administratifs et judiciaires impartiaux.

15. La vie publique, dans son ensemble, doit être marquée du sceau de la morale et de la transparence, raison pour laquelle il faut élaborer et appliquer des normes et règles propres à les assurer.

16. La participation individuelle aux processus démocratiques et à la vie publique à tous les niveaux doit être réglementée de manière équitable et impartiale et doit prévenir toute discrimination ainsi que le risque d'intimidation de la part des acteurs étatiques et non étatiques.

17. Des institutions judiciaires et des mécanismes de contrôle indépendants, impartiaux et efficaces sont les garants de l'état de droit, fondement de la démocratie. Pour que ces institutions et mécanismes puissent pleinement veiller au respect des règles, améliorer la régularité des procédures et réparer les injustices, il faut que soient assurés l'accès de tous, sur une base de stricte égalité, aux recours administratifs et judiciaires ainsi que le respect des décisions administratives et judiciaires, tant par les organes de l'Etat et les représentants de la puissance publique que par chacun des membres de la société.

18. Si l'existence d'une société civile agissante est un élément essentiel de la démocratie, la capacité et la volonté des individus de participer aux processus démocratiques et de choisir les modalités de gouvernement ne vont pas de soi. Il est donc nécessaire de créer les conditions propices à l'exercice effectif des droits participatifs, tout en éliminant les obstacles qui préviennent, limitent ou empêchent pareil exercice. Aussi est-il indispensable de promouvoir en permanence, notamment, l'égalité, la transparence et l'éducation, et de lever des obstacles, tels que l'ignorance, l'intolérance, l'apathie, le manque de choix et d'alternative véritables, et l'absence de mesures destinées à corriger les déséquilibres et discriminations de caractère social, culturel, religieux, racial ou fondés sur le sexe.

19. Pour que l'état de démocratie soit durable, il faut donc un climat et une culture démocratiques constamment nourris et enrichis par l'éducation et d'autres moyens culturels et d'information. Une société démocratique doit dès lors s'attacher à promouvoir l'éducation, au sens le plus large du terme, incluant, en particulier, l'éducation civique et la formation à une citoyenneté responsable.

20. Les processus démocratiques s'épanouissent dans un environnement économique favorable; aussi, dans son effort général de développement, la société doit-elle s'attacher tout particulièrement à satisfaire les besoins économiques fondamentaux des couches défavorisées assurant ainsi leur pleine intégration au processus de la démocratie.

21. L'état de démocratie suppose et la liberté d'opinion et la liberté d'expression, ce qui implique le droit de n'être pas inquiété pour ses opinions et celui de chercher, recevoir et répandre les informations et les idées, sans considérations de frontières, par quelque moyen d'expression que ce soit.

22. Dans les sociétés homogènes comme dans les sociétés hétérogènes, les institutions et les processus de la démocratie doivent favoriser la participation populaire pour sauvegarder la diversité, le pluralisme et le droit à la différence dans un climat de tolérance.

23. Les institutions et processus démocratiques doivent aussi favoriser la décentralisation du gouvernement et de l'administration, qui est un droit et une nécessité, et qui permet d'élargir la base participative.


TROISIEME PARTIE - LA DIMENSION INTERNATIONALE DE LA DEMOCRATIE

24. La démocratie doit aussi être reconnue comme un principe international, applicable aux organisations internationales et aux Etats dans leurs relations internationales. Le principe de la démocratie internationale ne signifie pas seulement représentation égale ou équitable des Etats; il s'étend aussi à leurs droits et devoirs économiques.

25. Les principes de la démocratie doivent s'appliquer à la gestion internationale des problèmes d'intérêt mondial et du patrimoine commun de l'humanité, en particulier l'environnement humain.

26. Dans l'intérêt de la démocratie internationale, les Etats doivent veiller à ce que leur conduite soit conforme au droit international, s'abstenir de recourir à la menace ou l'emploi de la force et de toute conduite qui mette en péril ou viole la souveraineté et l'intégrité politiques et territoriales d'autres Etats, et s'employer à régler leurs différends par des moyens pacifiques.

27. Une démocratie doit défendre les principes démocratiques dans les relations internationales. A cet égard, les démocraties doivent s'abstenir de tout comportement non démocratique, exprimer leur solidarité avec les gouvernements démocratiques et les acteurs non étatiques comme les ONG qui oeuvrent pour la démocratie et les droits de l'homme et être solidaires de ceux qui sont victimes de violations des droits fondamentaux perpétrées par de régimes non démocratiques. Afin de renforcer la justice pénale internationale, les démocraties doivent rejeter l'impunité pour les crimes internationaux et les violations graves des droits de l'homme fondamentaux et appuyer la création d'une Cour criminelle internationale permanente.
 
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