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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 20:58
COMPTE RENDU RENCONTRE DÉBAT DU 07/09/2013 SUR LA TRANSITION EN CENTRAFRIQUE   A L’HOTEL ALTON AU 107 RUE DE LA PELOUSE 33000 BORDEAUX OBSERVATOIRE CENTRAFRICAIN DE LA BONNE GOUVERNANCE                         TOUCHE PAS A MA CONSTITUTION                                                                                                                                                      La réunion a débuté à 15Hoo précises Monsieur Lucé Raymond BOMONGO, Président de l’Observatoire Centrafricain de la bonne gouvernance a présenté son association tout en faisant la genèse des activités réalisées dans le passé par cette dite association, En un mot, il a éclairé l’assistance sur l’objectif et la mission première de l’Observatoire Centrafricain de la bonne Gouvernance à savoir : la promotion de la Démocratie participative, la Paix, La sécurité, la concorde nationale, la gestion de la chose publique, la lutte contre la corruption, le crime économique, le régionalisme et le népotisme. Ce travail s’exerce en amont avec les différentes institutions internationales, les autorités locales, la diaspora, les partis politiques ainsi que toutes les couches sociales du pays. L’Observatoire Centrafricain est une plate forme démocratique ouverte à tout compatriote non encarté car c’est une association non inféodée aux partis politiques. Monsieur GONDJE Président du collectif touche pas à ma constitution a axé son exposé sur le caractère laborieux de la transition politique en Centrafrique compte tenu de l’occupation du plus grand pays par la coalition des rebelles. Ce dernier a expliqué à l’auditoire que cette situation est due par les voltes faces de l’Ex Président  BOZIZE et de la méfiance des rebelles vis-à-vis de ce dernier. Le 11 Janvier 2013, entre les protagonistes à LIBREVILLE (GABON) une solution de crise  est trouvée. Monsieur Nicolas TIANGAYE est nommé par BOZIZE,  premier  Ministre, avec la charge de constituer un gouvernement d’union nationale, composé de pléthore de Ministres, en raison des doublons nommés personnellement par ledit Président, sans concertation préalable avec  son nouveau Premier Ministre. Cette absence de loyauté entre le Président François BOZIZE et son nouveau Premier Ministre, Nicolas  TIANGAYE, la déclaration du Président BOZIZE  de se présenter à la prochaine élection Présidentielle en 2016, les turpitudes des Présidents Idriss Itno DEBY et Denis SASSOU NGUESSO ont alors conduit la rébellion à renverser le Président BOZIZE le 24 mars 2013. Monsieur Michel NDOTODJA s’autoproclame Président de la République. Le 18 avril 2013 à l’issu du 4ème sommet extraordinaire des chefs d’état et de gouvernement de la Communauté Economique des états de l’Afrique Centrale(CEEAC), le Président Idriss Itno Deby l’actuel Président en exercice de cette institution invitera toutes les parties centrafricaines impliquées dans cette crise. On notera lors de la déclaration finale du Président en exercice de la CEEAC, Idriss Itno DEBY, qui rappelle aux différentes parties, sauf  le Président François BOZIZE dont la présence n’a pas été souhaitée par les autorités du TCHAD, le respect des termes des accords de LIBREVILLE et la création d’un comité national de transition, organe législatif, chargé d’élaborer une nouvelle constitution. Cependant, un arrêté n°05 du 13 avril 2013 pris par gouvernement de transition mettra en place comité national de transition, composé de 135 membres. Ce comité par acclamation élira Michel NDOTODJIA Président de la république et le 18 juillet 2013 ce dernier prête serment devant la cour constitutionnelle et devient Président de la république. Monsieur  Lucé  Raymond BOMONGO, Président de l’Observatoire reprend la parole pour présenter officiellement Maître Joseph GNOU à l’assistance en sa qualité de membre du dit Observatoire. L’intervention de Maître Joseph GNOU est un regard critique de juriste sur la chartre constitutionnelle qu’il considère comme étant un véritable monstre constitutionnel.                                        Il fait alors remarquer que le contenu de cette chartre n’est pas juridiquement cohérent avec les engagements pris par les différentes parties à la résolution de la crise Centrafricaine en janvier  2013 à LIBREVILLE, en avril 2013 à DJAMENA et au mois de mai 2013 à BRAZZAVILLE. Ce désordre juridique créer forcément un blocage institutionnel.                                                                                                                   Ce qui est plus ahurissant c’est que les rédacteurs de la dite chartre constitutionnelle ne se sont pas rendus compte de la monstruosité juridique qu’ils créent,  lorsque l’article 29 de la chartre Constitutionnelle relatif aux pouvoirs dévolus au Président de la transition fait référence aux termes des accords de LIBREVILLE qui précisent que : 1-Pendant la transition le Président de la république ne peut révoquer le premier Ministre 2-De la même manière, les ministres ne sont pas révocables ; aucune motion de censure ne peut être déposée contre la politique du Président de la transition ; les actes du Président de la transition doivent subir le contreseing du Premier Ministre. 3-Le fait que l’article 20 des accords de LIBREVILLE précise qu’en cas de désaccords entre le Président et le Premier Ministre, ceux-ci doivent se présenter à l’arbitrage du comité de suivi. -Maître Joseph GNOU a terminé son exposé sur l’intitulé du Haut Conseil de l’Information comme un organe constitutionnel et la nécessité de sa suppression dans le projet de constitution. Il considère que le rôle de régulation d’accès aux médias par les acteurs politiques peut être assuré par une simple agence. -Monsieur Lucé Raymond BOMONGO a repris la parole pour ouvrir le débat. Celui-ci sera marqué par plusieurs interventions des participants : -Monsieur MBALA du Niger s’est demandé pourquoi la R.C.A a raté le virage de la démocratisation des années 80. IL souhaite vivement pour ce pays, la naissance d’une nouvelle société civile dynamique et responsable. IL réclame l’arrêt des exactions perpétrées par les éléments de la SELEKA. La Centrafrique doit désormais se choisir des filles et fils compétents et intègres pour la conduire vers une démocratie véritable. -Monsieur José DOMINO BOMONGO rappelle à l’occasion de son intervention, le discours de Monsieur  Eric Neris MASSI, porte parole de la SELEKA, qui avait rassuré les centrafricains de Bordeaux que la SELEKA accédait au pouvoir pour garantir au peuple centrafricain la paix et la sécurité. Il a exprimé sa désolation lorsqu’il constate qu’aujourd’hui la réalité politique en Centrafrique est loin de cette promesse de la SELEKA faite au peuple qui subit tous les jours des exactions diverses (viols, vols, tueries, tortures et pillages)                                                Ce dernier note par ailleurs que les pouvoirs en RCA se succèdent avec les mêmes erreurs. cependant,il approuve                                                                                                                                                                                la réaction des jeunes de BOY-RABE et  qualifie cette transition politique de mascarade. Il relève que comité national de transition n’est pas régulièrement constitué, tant il est composé des représentants usurpateurs aux côtés de ceux qui sont régulièrement choisis. -Monsieur José BOMONGO désigne le Président du TCHAD, Idriss Itno DEBY comme étant le seul responsable du désordre politique installé en Centrafrique depuis plusieurs années. Tout cela, selon lui à cause du pétrole Centrafricain qu’il veut en disposer à sa guise. La SELEKA aurait mieux fait de laisser la Transition entre les mains des hommes d’expérience pour organiser les prochaines élections. Il considère que l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance doit être davantage critique sur la gouvernance de notre pays et actif dans les instances du pays dans chaque combat avec des préconisations. Il déplore que le sport qui est un facteur d’unité et de paix ne puisse être soutenu. -Monsieur Simon ALALENGBI, cadre du parti politique, le Rassemblement Démocratique Centrafricain(RDC) et Président de l’association des amis de KOLINGBA, demande aux centrafricains de s’inscrire dans une dynamique de résistance contre les forces étrangères occupantes de notre pays. Le moment n’est plus à faire des discours, mais à poser des actes concrets.  « QUE CEUX QUI VEULENT ALLER MANGER PARTENT » …fin de citation -Monsieur  Jean MBALANGA se réjouit de l’initiative de l’observatoire de la Bonne Gouvernance qui travaille énormément pour faciliter et permettre des rencontres entre la diaspora et nos  différents hommes politiques. Il vilipende l’attitude de nos hommes politiques qui se donnent au vagabondage politique  conduisant notre pays dans une  instabilité institutionnelle durable. Il souligne qu’il est judicieux de promouvoir la création de plusieurs partis politiques qui seront des outils politiques indispensables pour la démocratisation de notre pays.IL  s’offusque contre la situation de notre pays qui est devenu depuis 20 ans une dépendance du TCHAD.                   « La nouvelle génération doit agir vite pour corriger cet état de chose ».                                                                                Il termine son intervention en demandant avec véhémence, l’implication de l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance dans la recherche des solutions et attentes des centrafricains. -Monsieur Fernand DONDON se demande pourquoi la RCA, pays riche en matières premières est arrivé à cette éprouvante condition. Il invite des centrafricains à faire des propositions pour sortir notre pays du chaos. Il exhorte la jeunesse centrafricaine à la résistance aux étrangers qui veulent nous dominer et de participer à un projet politique, pour conduire notre pays à la respectabilité internationale. -Monsieur GUELA Hermas Armel Précise que l’occasion offerte par l’observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance est un tremplin pour interpeller les centrafricain et les autres sur la situation de notre pays. Il se pose une multitude de questions :                                                                             1- sur la manière à laquelle nous pouvons dénoncer le contenu de la  Chatre Constitutionnelle.           2-Pouvons nous poursuivre en justice tous les financiers de la SELEKA ?                                             3-Les Centrafricains peuvent ils encore faire confiance à Monsieur Michel NDOTODJIA pour notre pays vers la démocratie ?Il termine ses propos en invitant les centrafricains à l’unité et à la mobilisation politique de notre jeunesse. -Monsieur KAMOUGUI continue dans le même sens que ses prédécesseurs, en précisant que les jeunes ne doivent pas avoir peur de s’engager politiquement. Ils doivent se regrouper et discuter des thèmes politiques précis pour une meilleure contribution. -Monsieur BRICE YAMBIO s’inscrivant dans l’analyse critique de Joseph GNOU veut connaître les noms des rédacteurs des chartres constitutionnelles et s’étonne de la promulgation de cette dernière. Il exprime un sentiment de honte, lorsque ses amis étrangers considèrent nos hommes politiques de grands enfants. Monsieur Brice Yambio déplore l’attitude de nos acteurs politiques marquée par ce qu’il qualifie de « mangecratie ». -Monsieur Clément GODAME, ironise sur les propos du Président de l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance, Monsieur Lucé Raymond BOMONGO et de Maître Joseph GNOU qu’il considère comme des soutiens de la SELEKA, pour leurs relations respectives avec Eric Néris MASSI, ancien porte parole de la SELEKA.                                                                                                         Il désigne la SELEKA comme une bande de criminels qui ne mériterait pas de recevoir une quelconque proposition pour le redressement de la Centrafrique. Il estime que,  leur faire des propositions n’est nécessaire, dans la mesure où ils ne sont là que pour 18 à 20 mois. IL renchérit en se demandant la place de l’Observatoire Centrafricain de la bonne Gouvernance dans l’échiquier politique centrafricain. -Monsieur Clément GODAME termine ses propos par une série de critiques sur les viols, vols et exactions perpétrés par les SELEKA et il en appelle à la résistance militaire, seul moyen selon lui de mettre la pression politique sur les forces étrangères occupantes. -Monsieur GODFROY  KUWA (GODE): a  mis en exergue les schémas identiques usités par  tous nos chefs d’état pour accéder à la magistrature suprême : L’ancien Président PATASSE était secouru par la force étrangère congolaise, les « BAYAMOULENGUE  ». L’autre ex Président BOZIZE est arrivé au pouvoir avec une autre force étrangère du TCHAD constituée des mêmes éléments de la SELEKA.  Aujourd’hui, le Président de la transition, Michel NDJOTODJA  est  au pouvoir par le biais de ces mêmes hommes TCHADIENS.  Il déplore ces similitudes entre les massacres des habitants de quartiers : Il rappelle qu’ à l’époque de Patassé, les quartiers bombardés étaient : KPETENE, SANGO, LAKOUANGA, BRUXELLES, PETEVO ET BIMBO,                                                                                              On constatera que la période de BOZIZE est marquée par des bombardements des provinces comme PAOUA, BETOKO etc.…  Quant à Michel NDOTODJA, son choix se porte sur les quartiers dits «  rouges » pro-BOZIZISTES  -Monsieur GODE KUWA termine ses propos par des critiques acerbes à l’encontre des hommes politiques centrafricains et il s’interroge sur la date la fin de cette transition. -Monsieur Romaric BOKO NZOUMBOU, a pour sa part déploré l’absence de leader politique en Centrafrique. Nos hommes politiques ne nous proposent pas de textes fondamentaux adaptés à la nos réalités sociales.                                                                                                                              Cependant, ils passent leur temps à faire du copier coller des lois fondamentales rédigées pour d’autres pays avec d’autres réalités sociales que les nôtres. Il note, que les coups d’états successifs ont ramené  notre pays à 50ans en arrière. Il est donc temps de démilitariser la Centrafrique et de mettre l’accent sur la formation des cadres et des technocrates. -Monsieur  Romaric BOKO NZOUMBOU, termine ses propos par une interrogation sur une hypothético –espérance en Centrafrique. -Monsieur Emmanuel MANGOT : revient sur les propos de Néris Eric MASSI tenus dans cette même salle de l’hôtel ALTON à Bordeaux,  pendant les évènements qui ont abouti au renversement de BOZIZE.  Il dit, remarquer une grande différence entre ce qui a été promis par SELEKA et ce que vivent nos compatriotes  en ce moment au pays. -Monsieur Emmanuel MANGOT s’interroge sur la présence de Maître Joseph GNOU  en qualité de membre de l’Observatoire,                                                                                                                                            Pour finir il a formulé un souhait, celui de voir les membres dirigeants de structures politiques marquer leur neutralité dans l’appréciation ou les commentaires des évènements dans notre pays.   -Monsieur Rodrigue DETOUA  attire  l’attention de l’assistance sur les conséquences économiques de cette crise qui obligent les centrafricains à dépenser beaucoup d’argent au Cameroun, -Monsieur Jude NOUGNAGA  s’interroge sur la manière à laquelle l’Observatoire pourra t’il peser vraiment sur l’échiquier politique  centrafricain, Il s’interroge comme de nombreux compatriotes Centrafricains sur les causes endogènes et exogènes de son absence aux différentes tables de négociations  au GABON, au CONGO et au TCHAD  et même à Bangui, alors que cette structure est incontournable pour notre pays ? -Monsieur Boris BASCO dénonce la main mise de la SELEKA sur tout le pays. Il exhorte comme ses prédécesseurs les centrafricains à la résistance et s’interroge sur le retour à l’ordre constitutionnel.                                                                                                                                                                  Il termine ses propos par des préconisations : le désarmement des SELEKA, la restauration des pouvoirs de l’état, la reconstruction d’une nouvelle armée nationale et la  sécurisation du pays. -Monsieur Gérard KAPEDEN, cadre politique Camerounais loue l’initiative de l’observatoire centrafricain de la bonne gouvernance. Il est convaincu que les centrafricains donnent ici dans cette somptueuse salle une bonne leçon de démocratie aux autres africains par la qualité et la sérénité du débat. Il termine ses propos en recommandant l’organisation par l’observatoire  de ce genre de débat pour toute la diaspora Africaine.                                                                                             -Monsieur Hyppolite MANGOT réfute la problématique  d’octroyer la nationalité au supplétif étrangers de la SELEKA, pour leur permettre d’intégrer nos forces armées. Il demande aux centrafricains de regarder la  configuration de la salle par rapport à la composition du gouvernement de transition. IL se dit fort étonné que les compétences de nos compatriotes de la diaspora ne puissent être exploitées par nos dirigeants. -Monsieur Robert YAMBERE, demande aux centrafricains de s’aimer et s’interroge sur notre capacité à pardonner. En bon pasteur, Il explique  que seul le pardon mutuel permettra le revivre ensemble et la consolidation de la paix, nonobstant que la plaie est profonde mais se cicatrisera lentement. -Monsieur Brice VOSSIOMAWA   veut savoir les moyens dont dispose l’Observatoire Centrafricain de la Bonne Gouvernance pour influer  sur le régime de transition en Centrafrique. -Monsieur Laurent BOUTOU : opérateur économique centrafricain estime que l’Observatoire Centrafricain de la bonne gouvernance a fourni une bonne prestation, mais il reste tout de même sur sa faim et ne comprend pas silence de la classe politique sur les exactions de SELEKA.  Il se demande si l’on peut poursuivre les auteurs de ces exactions devant les tribunaux de la Cour pénale internationale(CPI).Il exige des préconisations concrètes. -Monsieur OSSEI du Niger considère que le problème centrafricain ne se résout pas par les armes et déplore l’absence des centrafricaines en cette occasion car dans d’autres pays en crises, les femmes sont actives et dépolitisent le débat en mettant en exergue l’intérêt National. -Monsieur Lucé Raymond BOMONGO a repris la parole pour remercier tous les participants et d insister sur la présence massive de nos frères Africains à nos côtés il s agit des frères et soeurs de la côte d ivoire, du Congo Brazzaville, du Niger, du Tchad, du Cameroun, du Gabon, du Togo, de la République démocratique du Congo et du sénégal . Monsieur Lucé Raymond BOMONGO termine ses propos en  indiquant que désormais nous sommes appelés à nous rencontrer souvent dans l’optique d’analyser la situation politique et de formuler des préconisations concrètes du pays. La séance a été levée à 19H et un buffet de réconciliation offert aux participants. SUMM UP : Compte tenu du caractère houleux et de multiples interventions, les participants à cette rencontre exige une prochaine rencontre pour faire des préconisations. Monsieur GONDJE : estime que la diaspora est sur la bonne voie et souhaite que cette pratique démocratique d’un haut niveau puisse avoir lieu plus souvent.    Monsieur Lucé Raymond BOMONGO : relève-le manque du temps nécessaire aux traitements des préconisations. Il met ex exergue les incohérences juridiques des accords de LIBREVILLEI et II, des ACCORDS de BRAZZAVILLE et TCHAD, la CHARTRE de la TRANSITION, les petits CALCULS POLITICIENS du Président de la Transition NDOTODJA de TIANGAYE Premier Ministre et de NGUENDET  Président du Conseil National de Transition qui paralysent le pays. Il La tenue dans les jours qui suivent d’ une Conférence Nationale permettant aux centrafricains de se dire la vérité en face et de désigner démocratiquement des personnes intègres, désintéressées pouvant accompagner cette transition  pour QU elle soit véritablement démocratique.                                                                                                                                                                  Envoyé de mon iPhone 5
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