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8 novembre 2006 3 08 /11 /novembre /2006 01:24
Accusé de parti pris durant le génocide rwandais: La radio française RFI se justifie
(Pressafriq 06/11/2006)


Radio France Internationale (RFI) a rendu public un rapport de synthèse sur sa couverture de la crise rwandaise pour contredire les accusations de manipulation portées contre elle par Pierre Péan dans son livre "Noires fureurs, blancs menteurs, Rwanda 1990-1994" publié en novembre dernier.

Suite à la demande de la Société des Journalistes, le PDG de RFI a chargé deux collaborateurs de la radio de regrouper et d'analyser l'ensemble de la production concernant le conflit et le génocide rwandais.

Pierre Péan a formulé plusieurs griefs à l'encontre de RFI dont le principal est le de la station, et notamment de quatre journalistes de la rédaction, en faveur du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagamé, aujourd'hui au pouvoir à Kigali.

Après l'écoute de 800 journaux "Afrique" répertoriés dans la base de données de la sonothèque et couvrant la période du 2 octobre 1990 au 18 juillet 1994, les deux collaborateurs de la radio ont établi un document de 716 pages comportant les références et le contenu de ces journaux.

RFI a estimé qu'à la lumière de ce travail de recherche, il apparaît que les critiques formulées par Pierre Péan contre elle "ne sont absolument pas fondées" et a réfuté au passage les accusations de manipulations de ses collaborateurs.

Les auteurs du rapport notent, en outre que "devant l'ampleur des questions et des débats que le traitement de l'actualité rwandaise par un media comme RFI serait en droit de susciter, il apparaît, à la lecture de toutes ces retranscriptions, que les accusations de Pierre Péan sont, le plus souvent, portées de manière partiale et parfois légère".

Par ailleurs, "Noires fureurs, blancs menteurs, Rwanda 1990-1994" vaut également à son auteur une plainte déposée par SOS Racisme et les rescapés du génocide des Tutsi au Rwanda, soutenus par l'association IBUKA, pour diffamation raciale et incitation à la discrimination raciale. (pana)

 

© Copyright Pressafriq

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10 juillet 2006 1 10 /07 /juillet /2006 17:30
Droit de réponse de Me Goungaye au journal congolais Soft International

 

Nganatouwa GOUNGAYE WANFIYO

Avocat

Immeuble New Montana

Avenue Barthélemy BOGANDA

B.P. 1883 BANGUI République Centrafricaine

Tél.( 00 236) 61 14 58

Fax (00 236) 61 62 62 Mob.(00 236) 04 41 04

e-mail goungaye@yahoo.fr

 

 

Monsieur le Directeur de la Rédaction

LE SOFT  INTERNATIONAL

 

 

 

BANGUI le 5 Juillet 2006

 

 

AfF.GBEZERA-BRIA/ LE SOFT online

         INTERNATIONAL

        

Nos Réf. NG. G. W.

 

 

Objet : Droit de Réponse.

 

 

Monsieur le Rédacteur en Chef,

 

Au nom et pour le compte de Monsieur Michel GBEZERA–BRIA, ancien Ministre d’Etat Chargé des Affaires Présidentielles et ancien Directeur de Cabinet à la Présidence de la République, ayant exercé de hautes responsabilités de l’Etat au niveau national et dans le système des Nations Unies et dont je suis le Conseil  et de toute sa famille, je voudrais, pour rétablir la vérité, que vous publiez la présente sur le site de votre journal au titre de droit de réponse conformément aux dispositions de la loi Congolaise sur la Communication et la liberté de la presse.

 

En effet, un article sous forme d’interview est paru sur votre site le 4 Juillet 2006  avec comme titre :

 

«  Crimes en Centrafrique : Papy Kibonge revient de la CPI où il a témoigné ».

 

Evoquant les crimes de guerre, les crimes de génocide et les crimes contre l’humanité commis en Centrafrique et imputables aux troupes du mouvement MLC de Jean Pierre BEMBA dont la Cour Pénale Internationale est actuellement saisie, Monsieur PAPY KIBONGE qui affirme avoir été invité par une organisation non gouvernementale congolaise au nom de « CCI » pour témoigner devant la Cour Pénale internationale a déclaré :

 

« Ils ont pillé la Banque Centrale, les militaires se livrent au viol et tuent. Des jeeps pillées à BANGUI conduits à Kinshasa, repérables par les impacts de balles qui ont fauché les propriétaires. A part ça, il y a la femme du Chef de Cabinet de Patassé , Mme BEZERA Bria, qui est violée et en est morte. Elle était Belge d’origine. Je suis parmi les Officiers en  fonction dans l’ALC à l’époque des faits. Je suis quelqu’un qui a des choses à dire dans ce dossier… »

 

Il est exact que les troupes du mouvement MLC se sont livrées à des actes de barbarie les plus ignobles sur la population civile centrafricaine.

 

Les centaines de victimes centrafricaines attendent que le moment venu, Monsieur PAPY KIBONGE qui est un ancien  du  MLC, ancien Officier de son armée de libération  « ALC » et qui doit assurément savoir beaucoup de choses puisqu’il déclare avoir des choses à dire, témoigne sur les faits.

 

Cependant, s’agissant précisément et exclusivement du cas de Madame  GBEZERA- BRIA, les allégations de Monsieur PAPY KIBONGE sur le viol suivi de mort dont elle aurait été victime, relèvent d’une pure contre vérité qui a profondément blessé Monsieur Michel GBEZERA- BRIA et toute sa famille et a sali la mémoire de la défunte.

 

D’abord, Monsieur PAPY KIBONGE devait s’assurer de la rectitude du nom GBEZERA- BRIA au lieu de faire  transcrire « BEZERA BRIA ».

 

Ensuite, et puisqu’il cite nommément une personne, la probité et le sens de responsabilité et de l’honneur non seulement pour soi mais à l’égard d’autrui devaient l’inciter à mesurer la portée de ses déclarations et le préjudice qu’elles engendreraient.

 

Enfin, manifestement, Monsieur PAPY KIBONGE ne s’est entouré d’aucune garantie et n’a procédé à aucune vérification de la réalité des faits qu’il invoque.

 

 Madame  GBEZERA BRIA  non seulement n’a jamais été violée mais n’est pas morte des suites d’un viol.

 

Elle est simplement décédée de la suite d’une leucémie découverte en 2001. Elle était à sa troisième évacuation sanitaire à Paris lorsque son état s’est empiré.

 

Afin de réparer le grave préjudice moral inutilement infligé à une famille dans son deuil, de laver l’opprobre jeté dans la mémoire de la défunte et au nom des enfants de Monsieur Michel GBEZERA- BRIA qui, dès le 4 Juillet 2006 l’ont alerté avec douleur des affirmations de PAPY KIBONGE, je vous prie de publier ce droit de réponse car à défaut, je me verrai contraint d’user des voies de droit pour diffamation.

 

Espérant que vous allez publier dans sa totalité ce droit de réponse dont vous avez la primeur comme vous avez été le premier à donner un écho aux propos de Monsieur PAPY KIBONGE, recevez, Monsieur le Rédacteur en Chef, mes salutations les meilleures.

 

 

 

Nganatouwa GOUNGAYE WANFIYO

                                                Avocat.

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24 avril 2006 1 24 /04 /avril /2006 12:05
contact
Nom: Pierre Benjamin NGREGAI
Courriel:
pbngregai2006@...
Adresse:
Ville: khartoum
Pays: soudan
Commentaire: Monsieur le Directeur de Publication du journal le
Point.

Je vous prie de bien vouloir publier dans vos colonnes le Droit de
Reponse ci-apres par rapport a votre livraison du 18 Avril 2006.

1- Des supposes liens avec l'ancien President Ange-Felix PATASSE.
Depuis le 15 Mars 2003, je n'ai plus aucun lien direct ou indirect
avec l'ancien President qui vit en exil au Togo. Certes, je sortais
avec sa niece de qui j'ai eu trois enfants mais qui m'a quitte
depuis le 25 Juillet 1995 pour un autre homme, Marcel METEFARA,
frere de Jean-Paul NGOUPANDE, actuel Ministre des Affaires
Etrangeres.

En ce qui concerne mon Parti, le Mouvement de Liberation du Peuple
Centrafricain(MLPC)tres divise en ce moment, je suis de ceux-la qui
ont apporte leur soutien a la politique de reconciliation nationale,
de paix et de dialogue pronee par le president BOZIZE. Il n'y a pas
d'equivoque la-dessus.

2- De la rebellion Tchadienne du Front Uni pour le Changement (FUC).
C'est vraiment de l'hallucination. Je ne suis pas un tchadien pour
m'enroler dans le FUC afin de ravir par la force le pouvoir au
Tchad. Je ne suis pas non plus un mercenaire. Je suis plutot un
Diplomate de carriere actuellement admis a faire valoir mes droits a
la retraite.
De grace,que mes detracteurs tant de Khartoum que de Bangui aillent
chercher leur gibier a abattre ailleurs.

Je sais que le President BOZIZE qui est mon proche parent a une
grande estime pour son frere le President Idriss DEBY ITNO que je
respecte beaucoup a cause de l'elan qu'il a insuffle a l'Economie
Tchadienne d'une part et a cause de son eternelle main-tendue a tous
les rebelles tchadiens chaque fois en vue de parvenir a un accord de
paix et a un dialogue constructifs d'autre part.

Donc, je n'ai aucun droit en tant que Diplomate Centrafricain
d'entraver les bonnes relations qui existent si heureusement entre
les deux Hommes d'Etat qui sont avant tout mes vrais freres pour qui
je voue une profonde admiration.

Comprenez une derniere fois que je n'ai aucun rapport avec l'ancien
President Ange-Felix PATASSE, aucun lien avec le fameux Front Uni
pour le Changement (FUC)et moins encore avec un groupuscule de
rebelles centrafricains tel que l'affirment gratuitement mes
detracteurs en mal de sensation.

Veuillez agreer, Monsieur le Directeur l'expression de ma
consideration tres distinguee.


Pierre-Benjamin N'GREGAI, Ancien Ambassadeur de la Republique
Centrafricaine au Soudan

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25 mars 2006 6 25 /03 /mars /2006 19:52

De : Blackys-Vincent Biandÿffffe9 <lezog75@...>
Date : Samedi 25, Mars 2006  18:30
Objet : RE : [kodro_ti_finini] Quand les "ont dit" faussent l'information

 

.

 
 
Mon frère Domba -Yonbey,
 
La mise au point du webmaster de So zowala, notre gand ami l'Auvergnat, est claire, précise et suffisante. J'ignore l'atome crochu qu'il peut avoir entre Raymond Bomongo, son Observatoire et toi. Laisse-nous en dehors de cela. Car personne d'entre nous n'a pris ces rumeurs pour du cash. Nous sommes suffisamment  lotis pour distinguer un poussin d'un caneton, sans la présence de leur mère respective. Raymond n'a fait qu'étendre, pour notre information, une fumée qui circulait depuis à Bangui; peut-être ventilée par Djento, pour des raisons que lui seul connaît; c'est aussi son droit. Mais, qu'il en soit la source ou pas, j'espère que tu comprendras comme nous, qu'il lui appartient, et à lui avant tout, en tant que principal concerné, de taire de tels bruits, s'il était sérieux et s'il se respectait. Quant à y ajouter des commentaires suspicieux par quelqu'un d'autre, quelque soient les sombres liens qui peuvent exister entre Djento et la personne, cela est simplement pernicieux et redondant.
 
Par ailleurs, rumeur ou pas, cela ne donne aucun droit au compatriote Maurice Ouambo, de s'en prendre avec autant d'arrogance et d'impolitesse à un autre compatriote, qui de surcroit, ne lui a pas adressé quelque diffamation que ce soit, tout au plus, exprime, dans son droit, le minimum de principe et critères qui devraient prévaloir dans de telles nomminations.
Mais, en dehors de la personne même de Djento, la question est: Nous tous, les supposés instruits, Diplomés etc de la diaspo centrafricaine avons-nous aumoins de la substance dans notre personnalité, en dehors de nos critiques à n'en plus finir à l'endroit des autorités du pays? Que ferions-nous de différent par rapport à elles et à leur place, pour redonner confiance et viabilité au pays, tel que nous ne cessons de déplorer depuis? Par où devrions-nous commencer? Il me semble que c'est bien par nous mêmes. Malheureusement, nous semblons être plus à notre aise dans la critique-critque. Dès lors que nous avons un brin de pouvoir, le ciel nous redevient bleu, même à Bangui, pendant qu'il tombe sur la tête des autres, en commençons par nos amis de Kodro. Nous nous redressons, tel un serpent à sonnette, prêts à faire des victimes, même ces derniers et la tendance est que nous faisons pire que ceux-là mêmes que nous critiquions. Alors, nous voulons tous un poste au pays. C'est normal et naturel: Nous étions venus étudier pour servir le pays. Mais, je me demande si nous établissons nous-mêmes nos Termes de référence en prenant nos fonctions au pays. Un exemple: Nous critiquions Prospère Ndouba alias Prospérité. L'un d'entre nous, les prêtres de cette critiques, venait d'occuper des fonctions proches de celles de Prospérité. Quel souvenir nous a t-il laissé? Diantre, où est-il en ce moment? Une autre rumeur (quitte à lui de la démentir! Il se reconnaît): Il serait entrain de contempler les belles rues de Bangui, en attendant d'embrasser... les bords de la Seine, soit disant pour se soigner. Où est la différence entre Prospérité et lui enfin? Devrons croire que Djento suit allégrement le même shéma, qui est dorénavant le nôtre, à nous tous les instruits, diplomés, scolarisés, universitaires et autres de la diaspo? Et le pays dans tous cela? Quand est ce que nous allons commencer à être clairs dans notre appréhension politique, et vouloir faire vraiment différemment, quand la personne qui nous soit le plus facilement transformable est nous mêmes d'abord?
 
Monsieur Domba Yonbey, tu n'as pas posé le vrai problème dans ton commentaire de bas, qui est plus vicieux qu'autre chose. Même à ton encontre, je verrais mal une sortie comme celle de Djento contre Eugène. Nous avons tous un devoir de conscience et de réflexion profonde à l'endroit de notre pays, compte tenu de son état actuel, en dehors de nos ambitions carrieristes profondes, lesquelles ne sauraient exister sans ledit pays. Le petit frère Raymond Bomongo, comme le grand frère Eugène Yessé, n'ont fait qu'exprimer leur droit, centrafricains et fils du pays qu'il sont.
 
Merci de m'avoir compris.
 
Blackys-Vincent Biandé-B., Montréal, Canada.

Jean-Paul DOMBA YONBEY <jean-paul.domba-yonbey@wanadoo.fr> a écrit :
 
 
Salut à tous.
 
Ce démenti ci-dessous, s'il se confirme, ne manquera pas de conforter notre  frère Raymond BOMONGO dans son affabulation, oh pardon, dans son "observatoire de la bonne gouvernance".
 
Pour la crédibilité de son "Observatoire", et pour que certains colistiers cessent de plonger sans filet dans le vide car l'on sait que certains d'entre ces derniers avaient pris cette rumeur comme argent comptant pour se livrer à toutes sortes de spéculations, la logique voudrait que "Raymond La Science" s'empresse de démentir ce démenti.
 
Cdt
 
 
JPDY
----- Original Message -----
Sent: Saturday, March 25, 2006 9:03 AM
Subject: [POLELE] Quand les "ont dit" faussent l'information.

Paris le 24/03/06 2006: Quand les "ont dit" faussent l'information. MTECH dement formellement l'information selon laquelle Monsieur Maurice OUAMBO alias "DJENTO" serait nommé Ambassadeur de la RCA en Chine. Que ce soit depuis la cellule Diplomatique de la Présidence ou bien depuis le Ministère des Affaires Etrangères, aucun texte officiel ne prouve la nommination de Maurice OUAMBO comme Ambassadeur en Chine. Les informations circulant à Paris et faisant état de nommination de Djento comme Ambassadeur en Chine sont donc fausses
Le Webmestre
 
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