PERSONNE NE POUVAIT DOUTER DE CETTE ELECTION DE SARKO...
LES MEDIAS ET PROCHES PARENTS DE CE DERNIER ON VOTE CLANIQUEMENT:
ATTALI,ETC.........
ALORS PREPARER VOUS POUR LES LEGISLATIVES
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UNE DROITE QUI SE CROIT "GÉNÉTIQUEMENT ABONNÉE AU POUVOIR"
La candidate du parti socialiste, en meeting à Montpellier, a appelé mardi soir les Français à ne pas se "laisser faire" par les "additions arithmétiques" de voix du premier tour, qui place la gauche à un niveau historiquement bas. "L'élection présidentielle, c'est vous qui allez la faire", a lancé la candidate socialiste devant plus de 9 000 personnes.
"La politique c'est une multiplication de mouvements, de talents, d'énergies, de démocraties vivantes et c'est à cela que je vais m'employer" avant le deuxième tour, a-t-elle assuré. "J'appelle le plus grand nombre de Français et de Françaises à se rassembler autour du 'pacte présidentiel' avec cette magnifique confiance que vous m'avez donnée au premier tour pour porter le changement". Ségolène Royal a remercié "du fond du cœur" les candidats de gauche et des Verts qui se sont exprimés au soir du 22 avril pour "se rassembler sur (son) nom", avec "une pensée particulière" pour Arlette Laguiller qui a été longuement ovationnée, Mme Royal rappelant que c'était "la première fois" depuis 1974 que la candidate de LO appelait à voter pour le candidat PS au second tour d'une présidentielle.
La présidente de Poitou-Charentes avait été précédée sur la scène par Daniel Cohn-Bendit, fervent partisan d'une alliance entre la gauche, le centre et les Verts. Le député européen écologiste a ironisé sur Nicolas Sarkozy, qui "fait comme si la droite était propriétaire du pouvoir, comme si elle était génétiquement abonnée au pouvoir". M. Cohn-Bendit faisait allusion à la polémique suscitée par les propos de M. Sarkozy, qui a "tendance" à penser qu'on "naît pédophile".
Après six enquêtes créditant M. Sarkozy d'une large avance, un sondage Sofres publié mardi soir réduit l'écart entre les candidats à deux points : 51 % pour M. Sarkozy, 49 % à Mme Royal.
PARIS (AFP) - La rappeuse Diam's voit en Nicolas Sarkozy "un danger" et estime que le candidat UMP à l'élection présidentielle "n'aime pas le peuple mais s'aime lui", a-t-elle déclaré lundi à Paris lors de la conférence de presse de présentation de son DVD.
"Je ne le vois pas comme un mec de droite mais comme un danger. Il n'aime pas le peuple mais il s'aime lui", a déclaré la rappeuse en réponse à une question sur les résultats du premier tour de l'élection présidentielle."Je suis contente de savoir que je vis dans un pays où 11 millions de personnes sont d'accord avec ses idées", a ironiquement déclaré la rappeuse, se disant "triste" du résultat de M. Sarkozy au premier tour.
"Je ne suis pas d'une génération qui vote pour quelqu'un qu'elle aime, je vote contre quelqu'un que je n'aime pas", a-t-elle poursuivi.
Interrogée sur ce qu'elle pensait faire dans dix ans, elle a répondu: "Je ne sais pas si je rapperai encore, car on ne rappe pas sans rage. Mais si Nicolas Sarkozy passe, on aura encore cinq ans de beau rap !"
Diam's a épinglé Nicolas Sarkozy dans "La Boulette", chanson-phare de son disque à succès "Dans ma bulle", sorti il y a un an ("Y a comme un goût de démago dans la bouche de Sarko", disent les paroles). La jeune rappeuse de 26 ans sortira le 21 mai le DVD de sa tournée, "Au tour de ma bulle".
dimanche 22 avril 2007, 23h21 Duel entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal pour l'ElyséePARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal s'affronteront le 6 mai pour succéder à Jacques Chirac, qualifiés au terme du premier tour de la présidentielle marqué par une participation massive, la rémanence de la bipolarisation droite-gauche et le net recul du Front national. Le candidat de l'UMP a recueilli plus de 30% des suffrages, selon des résultats partiels portant sur 84,96% des inscrits, et la candidate du Parti socialiste plus de 25%. Tous deux, âgés respectivement de 52 ans et 53 ans, incarnent une nouvelle génération politique. Nicolas Sarkozy, qui paraît avoir largement mordu sur l'électorat d'extrême droite, réalise le meilleur score au premier tour d'un candidat de droite depuis Valéry Giscard d'Estaing en 1974 et surclasse Jacques Chirac, dont la meilleure performance au premier tour était de 20,84% en 1995. Ségolène Royal efface le "traumatisme" du 21 avril 2002 à gauche, dépasse le score cumulé de Lionel Jospin, Christiane Taubira (PRG) et Jean-Pierre Chevènement (MDC) en 2002, et s'approche du score de François Mitterrand en 1981 (25,85%). Le réflexe du "vote utile" semble avoir joué à plein après la dispersion de 2002 et lamine la gauche de la gauche, dont seul Olivier Besancenot, candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), émerge avec un score équivalent à celui de 2002 (4,25%). Ce scrutin, marqué par une mobilisation exceptionnelle de l'électorat à plus de 84%, illustre l'ancrage du clivage droite-gauche dans le paysage politique en dépit de la percée de François Bayrou, qui perd son pari du "ni droite ni gauche". "VENEZ HOMMES ET FEMMES DE FRANCE" Le candidat de l'UDF arrive en troisième position avec plus de 18% des suffrages, mais il triple pratiquement son score de 2002 (6,84%), ce qui valide sa stratégie d'indépendance. Après la qualification-surprise de Jean-Marie Le Pen en 2002 avec 16,86% des voix, le Front national enregistre un net recul à moins de 11%. Jean-Marie Le Pen, qui avait régulièrement progressé dans les urnes, subit son premier camouflet électoral depuis sa première candidature de 1974. Nicolas Sarkozy a lancé un appel à "tous les Français de bonne volonté" pour qu'ils "s'unissent" à lui le 6 mai. "Cette France fraternelle, ce rêve français, j'invite tous les Français de bonne volonté, quelles que soient leurs origines, quelle que soit leur croyance, quel que soit leur parti, à s'unir à moi pour qu'ensemble nous puissions la bâtir", a-t-il déclaré lors d'une allocution au QG de l'UMP, avant de s'offrir une traversée de Paris en voiture, comme le fit Jacques Chirac au soir de sa victoire en 1995. Le Premier ministre, Dominique de Villepin, qu'une rivalité farouche opposait à l'ancien ministre de l'Intérieur, a salué son "excellent score". "C'est la victoire du parler vrai", a estimé l'ancien Premier ministre Alain Juppé, autre figure du dernier cercle chiraquien. Un front anti-Sarkozy s'est dessiné dès dimanche soir : Marie-George Buffet, Dominique Voynet, Arlette Laguiller ont appelé à voter Ségolène Royal, tandis qu'Olivier Besancenot et le leader altermondialiste José Bové invitaient à "faire barrage" au candidat de l'UMP, sans se prononcer formellement pour la candidate du PS. Ségolène Royal a dit "tendre la main" à "toutes celles et ceux qui pensent comme moi non seulement possible mais urgent de quitter un système qui ne marche plus". "Venez hommes et femmes de France, de tous âges, de tous milieux, de tous territoires et toutes origines! Venez forces vives de notre belle nation! Serrons-nous les coudes! Ensemble nous allons rendre le sourire à notre pays. Ensemble nous allons conjurer les mauvais démons de la déprime et du déclin", a-t-elle lancé. "IL Y A ENFIN UN CENTRE EN FRANCE" Un débat télévisé opposera les deux prétendants le 2 mai. Selon un sondage Ipsos, Nicolas Sarkozy l'emporterait au second tour avec 54% des voix contre 46% à Ségolène Royal. CSA prédit une victoire sarkozyste à 53,5% contre 46,5% à sa rivale. Jean-Marie Le Pen, qui donnera ses consignes de vote le 1er mai, a dit craindre que "les Français aient été abusés", visant Nicolas Sarkozy et ceux qui "se sont emparés des idées du FN". "Je leur prédis avec tristesse des lendemains qui déchantent", a dit le président du Front national. "Les électeurs du FN ne se vendront à personne", a renchéri sa fille Marine. François Bayrou, serein, s'est réjoui d'"une bonne nouvelle" pour la France et s'est gardé de toute consigne. "A partir de ce soir, la politique française va changer et elle ne sera plus jamais comme avant", a-t-il déclaré. "Il y a enfin un centre en France". "Cette espérance que nous avons fait naître, j'en ai la charge je ne l'abandonnerai pas, ni une minute, ni une seconde pendant les jours, les semaines et les mois qui viennent". Le ministre de l'Emploi, Jean-Louis Borloo, soutien de Nicolas Sarkozy, a esquissé une première tentative de rapprochement en souhaitant que "les gens qui n'ont pas exactement les mêmes idées puissent travailler ensemble". Le candidat souverainiste du Mouvement pour la France (MPF), Philippe de Villiers, n'a pas donné de consigne de vote. Il dépasse les 2%, alors qu'il avait réalisé 4,74% en 1995. La communiste Marie-George Buffet recueille 1,92% selon des résultats partiels à 23h00 (3,37% pour Robert Hue en 2002), la candidate de Lutte ouvrière Arlette Laguiller 1,41% (5,72% en 2002), le candidat altermondialiste José Bové n'obtient que 1,34%. Le candidat du Parti des Travailleurs Gérard Schivardi est crédité de 0,36%. La candidate écologiste Dominique Voynet réalise un faible score d'environ 1,57%, qui confirme l'érosion des Verts. En 2002, Noël Mamère avait recueilli 5,25%. Le candidat de Chasse Pêche Nature Tradition (CPNT), Frédéric Nihous, dispose d'environ 1,30% (4,23% pour Jean Saint-Josse en 2002). |
Bemba définitivement battu - 27/11/2006 |
La Cour suprême de justice de la République démocratique du Congo (RDC) a rejeté lundi le recours du candidat Jean-Pierre Bemba contre les résultats provisoires de la présidentielle, qui le donnent vaincu par le sortant Joseph Kabila. "La Cour suprême de justice (CSJ) siégant en matière de contentieux des résultats issus du deuxième tour de l’élection présidentielle organisé le 29 octobre reçoit la requête du Mouvement de libération du Congo (parti de M. Bemba), mais la déclare non fondée", a déclaré à Kinshasa le juge Kalonda Kele de la CSJ. Le recours du vice-président Bemba portait notamment sur l’ampleur des votes par dérogation, la "falsification des résultats" et l’"empêchement des témoins d’accéder" à certains bureaux de vote. La CSJ proclamera plus tard dans la soirée lundi les résultats définitifs du second tour de la présidentielle organisé le 29 octobre, a annoncé M. Kele. Selon les résultats provisoires de la Commission électorale indépendante (CEI), M. Kabila l’a emporté avec 58,05% des suffrages exprimés devant M. Bemba (41,95%). Les observateurs internationaux et nationaux ont estimé que le scrutin et la compilation des résultats avaient été dans l’ensemble "transparents". |
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Bemba rejette les résultats partiels de la présidentielle (BBC Afrique 15/11/2006) ( 15/11/2006) En République Démocratique du Congo, la commission électorale a presque terminé la compilation des résultats du second tour de l'élection présidentielle du 29 octobre dernier. Joseph Kabila (g) et Jean-Pierre Bemba Les chiffres publiés indiquent l'avance du président sortant Joseph Kabila, avec près de 60 pour cent des voix contre 40 pour cent pour son rival Jean-Pierre Bemba. La tension est montée d'un cran à Kinshasa où l'Union pour la Nation, la coalition qui soutient la candidature de Jean-Pierre Bemba, rejette ces résultats. Elle a avertit qu'elle "n'acceptera pas un hold-up électoral visant à voler au peuple congolais sa victoire" Dans un communiqué publié ce mardi, le camp de Bemba a remis en cause l'impartialité de la commission électorale. Il a affirme que le taux de participation aurait été gonflé dans l'est du pays, favorable à Joseph Kabila. L'Union pour la Nation a du reste declare qu'il "se réserve le droit de dénoncer les accords conclus avec le camp de Joseph Kabila". Ces dernières semaines, les deux camps s'étaient engagés à respecter les voies légales de recours, en cas de contestation des élections, et notamment à ne pas faire recours à la rue. Sur le plan militaire, les deux candidats s'étaient engagés à cantonner leurs troupes. Mais samedi dernier, les hommes de Jean-Pierre Bemba ont ouvert le feu contre les gardes d'un général de l'armée congolaise et des éléments de la police. Ce mardi, entre 200 à 400 soldats de la garde de Bemba ont refusé de monter dans les camions de l'armée venus les chercher pour les éloigner du centre de Kinshasa. Pour sa part, le président de la Commission électorale indépendante (CEI), l'Abbé Appolinaire Malu-Malu a réitéré la transparence du processus en affirmant l'indépendance de la CEI qui "ne souffre d'aucun chantage de qui que ce soit" et rappelant qu'elle est la "seule habilité" à annoncer les résultats. La Commission électorale indépendante devrait proclamer des résultats provisoires ce dimanche au plus tard. Une proclamation qui intervient alors que les balises du chemin qui doit restaurer la démocratie en République Démocratique du Congo sont en train de voler en éclat. © Copyright BBC Afrique |
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