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20 avril 2006 4 20 /04 /avril /2006 20:14
Communiqué de l'UFR
(Communiqués 20/04/2006)


Le Bureau politique de l’Union des Forces Républicaines (UFR), après concertation avec le Haut Conseil National de la Révolution (HCNR) ; conformément à la proposition de La présidente du Comité de Suivi des Actes du Dialogue National Me Catherine Samba PANZA, je cite :
 -« LES FORCES VIVES DE LA NATION EXIGENT DES NEGOCIATIONS ENTRE BOZIZE ET LES REBELLES … »

 -« Et L’APPEL DE L’ARCHEVEQUE DE BANGUI, Monseigneur POMODIMO, qui prône le dialogue entre BOZIZE ET LA REBELLION … »

L’Union des Forces Républicaines (UFR) déclare, ne point s’opposer à une solution diplomatique aux conflit politico-militaire en République Centrafricaine. C’est d’ailleurs l’une des conditions posées par l’UFR, dans la procédure qui engage le mouvement à savoir ; (Réf : l’Heure du Bilan) :
Rappel :

 CAUSE DE L’UNION DES FORCES REPUBLICAINES.

L’Union des Forces Républicaines (UFR) de Centrafrique est
née le 25 Décembre 2005 suite à la situation politique, sociale et économique en République Centrafricaines. Rappelons que la situation politique et sociale en République Centrafricaine est suffisamment grave face à la population, faible et sans défense, ni sécurité. C’est donc, après un constat amer sur le climat d’Insécurité, d’Injustice, de la crise financière et surtout des graves violations de la Chartre Africaine de Droit de l’Homme et des Peuples ; que l’Union des Forces Républicaines a vue le Jour.
Sa devise c’est : « L’UNION – JUSTICE- TRAVAIL ».

-BUT DE L’UNION DES FORCES REPUBLICAINES.

L’Union des Forces Républicaines (U F R), recherche les voies et
moyens pour résoudre définitivement la Crise Centrafricaine, sur le plan politique ou militaire.
A/ AU PLAN POLITIQUE
L’Union des Forces Républicaines (UFR) privilégie la voie de la
Diplomatie, par un dialogue franc à trois niveaux :
1-Les Nations Unis
2-L’Union Africaine
3-Les Organismes Internationaux et Religieuses.

B/ AU PLAN MILITAIRE

L’Union des Forces Républicaines, ne voudrait pas nécessairement utiliser la Force ou la violence ; pour s’exprimer et trouver une solution acceptable. Mais, l’alternative de la Force reste et demeure en cas d’échec de la Diplomatie ; c’est à ce moment que le mouvement sera dans l’obligation de faire appels à ses Forces militaire en gestation.
Toutefois, nous restons optimiste pour le succès de la diplomatie sur les forces de ténèbres…/.

Le Haut Conseil National de la Révolution(HCNR) ayant examiné de nouveau la situation en République centrafricaine,tient à félicité la Présidente du CSADN et la classe politique centrafricaine pour leur sens du devoir national, exprime sa profonde satisfaction des progrès accomplis dans l’initiative des recherches de solutions , dans la voie d’un ajustement pacifique de la situation future en République centrafricaine ; auquel l’ Union des Forces Républicaines est prêt à donner sa vie pour le sacrifice suprême .
Toutefois, l’UFR émet des réserves par rapport à la moralité douteuse du Général F. BOZIZE , sur le non respect des engagements prient par ce dernier au niveau national et international, ce qui témoigne de la mauvaise foi du Général F. BOZIZE à honorer ses engagements. Nous pouvons énumérer à titre d’exemple :

1- En Politique :

* La déclaration du Général F. BOZIZE à l’opinion Nationale et internationale, après le coup d’Etat du 15 Mars 2003, «…. D’être venu mettre de l’ordre dans la maison en assurant rien que la transition, puis partir…. » Cette déclaration mensongère a permise à la classe politique centrafricaine de soutenir le coup d’Etat du 15 Mars 2003 sous la qualification de « sursaut patriotique » avec la mise en place d’un gouvernement de la « transition politique consensuelle ». La question est de savoir si le Général F. BOZIZE a-t-il honorer sa parole d’officier, suite à sa déclaration de n’assurer que la transition ? Quel à été la réaction de la classe politique centrafricaine ? Quel à été la réaction du Comité de Suivi des Actes du Dialogue Nationale (CSADN) ? Quel a été la position de l’opinion internationale, l’Union Africaine ? Le silence absolu et soutien à un puchsiste. Depuis la transition politique consensuelle, qui aujourd’hui défit le peuple, le droit de l’Homme,la communauté internationale prouve à quel point , le Général F.BOZIZE est un véritable criminel en puissance. Egalement, Le non respect des engagements avec la classe politique pour une gestion consensuelle du pouvoir.




2- Ex SYNDICAL :

* les centrales syndicales, suite aux accords pour un versement de trois (03) mois de salaires en vu de la reprises et suspensions des maux d’ordres de grèves. En dépit des ses accords et signatures des syndicats, le Général F. BOZIZE et le Gouvernement ont-ils honorer leurs engagements ? (Article 15. de la Chartre Africaine).
*Le Secrétaire Général de l’USTC, malgré les texte garantissant la liberté syndical, sur instruction du Général F. BOZIZE, la franchise à la bourse de travail, ne sont pas respecter, Monsieur Noël RAMADAN, Secrétaire Général du Syndicat « USTC » a été arrêté, conduit à la Gendarmerie sans motifs sérieux. Il n’a pu obtenir sa liberté que grâce à l’intervention directe du Premier Ministre, Monsieur Elie DOTE qui, excédé par ces pratiques arbitraires, s’est rendu personnellement à la Gendarmerie pour le conduire chez lui. De quel Etat de droit s’agit-il ? C’est de l’abus de pouvoir et de la dictature que présente le régime F. BOZIZE. Aucun indice de la démocratie.

3-Ex DROIT DE L’HOMME :

*IL faut rappeler, La disposition que stipule l'article 3 de la Déclaration Universelle Des Droits de l'Homme ratifiée par la République Centrafricaine figure à l'article 1er de la Constitution du 27 décembre 2004.
Les défenseur de droit de l’homme ont droit à une protection conformément à la disposition résumé dans l’article cité ci-dessus, dispositions de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, aux instruments nationaux et internationaux relatifs aux droits de l'homme ratifiés par la République Centrafricaine et à la Déclaration sur les défenseurs des droits de l'Homme.
Les défenseurs de droits de l’homme centrafricains ont –ils bénéficiés une seule foi de cette protection qui leurs sont reconnus universellement au regard de la loi ? Les personnalités citées ci-dessous sont bien placées pour nous répondre :
- Maître Nicolas TIANGAYE
- Maître Nganatouwa GOUNGAYE WANFIYO,
- Mr Emile NDJAPOU,
- Monsieur Adolphe NGOUYOMBO,
- Mr Maka GBOSSOKOTTO,
- Mr Zéphyrin KAYA,
- Mr Jean Louis GONDAMOYEN
Ex : du règlement de compte et assassinat du Maître BANDASSA, profitant d’une simple discussion à déboucher sur son assassinat par les ex-rebelles à la solde du Général F. BOZIZE.
Le Général F. BOZIZE en sa qualité, de chef suprême de la magistrature centrafricaine a-t-il présenté ses condoléances à la famille du disparu ?

• -Vu - La Violation de la Chartre Africaine des Droits de L’Homme et des Peuples,
• -Vu- L’Etat-fallite de la République Centrafricaine, face à la structure
étatique et d’institutions faibles, dans cette situation il n’y a pas d’Etat de droit.
• -Vu- La Violation de la Constitution Centrafricaine, explique l’abus de pouvoir, du au faite de l’absence de mécanismes opérationnels.
• -Vu- La violation de droits des Défenseurs, de droits de l’Homme en République Centrafricaine (réf : www.fidh.org du 20/01/2006).
• -Vu- L’Insécurité dans le Nord et dans la capitale Centrafricaine, conséquence plus de quarante mille (40.000) réfugiés au sud du Tchad, vivent dans des conditions amères et difficiles.
• -Vu le génocide planifier et organiser par le Général F. BOZIZE, dans la région du Nord de la République centrafricaine.
Tous réclament la Sécurité et la Paix dont le régime BOZIZE est incapable de rétablir sur tout l’étendu du territoire centrafricain.
- le Droit de retour des réfugiés au bercail.
• -Vu- L’Incapacité et l’Irresponsabilité des dirigeants à faire face aux
problèmes des :
-Arriérés de salaires cumulés (07) mois et le non paiement à terme échu de salaires des fonctionnaires centrafricains (Art.15 de la Chartre Africaine)•
-Le non paiement des Bourses aux étudiants centrafricains (Nationaux/et à l’Etrangés).L’avenir de la jeunesse centrafricaine est une fois encore hypothéqué sous, Le régime BOZIZE.
-Ex : les Etudiants et stagiaires centrafricains (errants et oublier) en grèves à l’Ambassade de la République centrafricain au MAROC, en Tunisie…
-Ex : les Etudiants centrafricains à l’Université de BANGUI…etc.
-Le non paiement des Pensions aux retraités.
• -Vu- La non Indépendance de la Justice Centrafricaine.
Conséquence des Graves violations de Droits Humains sur la
Population Centrafricaine. Tous ces multiples crimes demeurent impunis au regard de la loi.
• -Vu Le non respect des Institutions Républicaines, par les ex-rebelles de BOZIZE (Bozize, Prise en otage par les ex-rebelles).Ces ex-rebelles sont aux dessus de la loi et /ou se substituent aux institutions.
• -Vu Les Graves menaces à la liberté de la Presse en RCA.
• -Vu L'Incorporation des troupes étrangères, au sein de l'Armée
Nationale Centrafricaine.
Nous assistons à un pilotage à vue, sans programme de
Développement sous le régime F.BOZIZE.

Ex : DES ETUDIANTS CENTRAFRICAINS EN GENERAL ET EN PARTICULIER
EN TUNISIE....
TEMOGNAGE… « Si ce n’était pas l’église catholique qui n’est qu’une petite institution ecclésiastique qui nous venait en aide en hébergeant certains de nous, que devrions nous devenir ? Les étudiants centrafricains en Tunisie sont devenus des persona non grata et sont devenus la risée de tout le monde. Il est vrai que notre pays connaît des problèmes pécuniaires mais le peu que l’état dispose doit être émietté afin que tous les étudiants trouvent leur compte. Quand nous écrivons, personne ne se donne de la peine à répondre pour nous dire qu’ils sont entrés en possession de nos correspondances mais il y a un problème de liquidité. Tout ce silence nous laisse croire que nous n’avons pas d’importance et sommes dans les oubliettes. Nos autorités veulent elles qu’on demande à d’autres pays afin qu’ils répondent à nos revendication? Nous sommes des étudiants, et nos revendications ne peuvent que porter sur nos conditions sociales et académiques.
Que pensent nos autorités du gouffre dans lequel nous nous y trouvons ? Nous avons assez souffert et il est temps que les autorités centrafricaines prennent leur responsabilité. Si les autres étudiants sont payés, nous ne voyons pas pourquoi nous sommes marginalisés. Nous saisissons cette occasion pour lancer un appel solennel à son Excellence le Président de la République, et au Premier Ministre de bien vouloir agir en tant que pères de famille en trouvant une solution plausible à notre situation. Au vu et au su des problèmes énumérés ci dessus, nous demandons :
- le versement d’au moins d’une année de bourse
- la mise à notre disposition des titres de rapatriement
- l’établissement des passeports de certains étudiants qui souffrent de retard au service d’immigration
- procéder au rapatriement de l’étudiant LINGOWANE Gaston Florentin expulsé se trouvant en Libye
- verser les frais de scolarité afin de nous permettre d’entrer en possession de nos diplômes.
Nous souffrons beaucoup, et la seule alternative serait de rentrer au bercail le repos dans l’âme. Si nous n’obtenons aucune satisfaction à nos revendications, nous entrerons en grève de faim au point de sacrifier notre vie ».
Tunis, le 11 Mai 2004
SANA JEREMIE CYPRIE SECRETAIRE GENERAL
DE L’ASSOCIATION DES ETUDIANTS ET STAGIAIRES
CENTRAFRICAINS. 1, PLACE SIDI ABDELAZIZ BAB SOUIKA 1006 TUNIS
TUNISIE TEL. 00 216 22 876 4

L’Union des forces Républicaines (UFR) dénonce la politique du régime BOZIZE à mépriser l’avenir de la jeunesse centrafricaine, c’est d’ailleurs le cas de tout les régimes qui ce sont succédé en RCA. C’est de l’injustice.

1.1 Considérant, les graves violations de droit de l’Homme qui relèvent, des incriminations pénales de crime de guerre, de génocide et crimes contre l’humanité prévu et puni dans le Statut de Rome,

1.2 Considérant, le non respect des recommandations du Dialogue National d’Octobre 2003 auquel ont pris part plus de quatre cent (400) personnes représentant toutes les couches sociales et qui a permis de faire un diagnostic général des maux qui gangrènent la société centrafricaine et surtout de proposer des solutions à travers ses différentes recommandations. L’Exemple de La réconciliation n’est que vain discours pour le régime F. BOZIZE,

1.3 Considérant, spécifiquement les graves violations de droits de l’Homme, la période du coup d’Etat du 15 Mars 2003 a été marquée par :
des Pillages, particulièrement ceux des dignitaires de l’ancien régime et
-des Pillages de l’administration centrafricaine,
- assassinats au sein de la population civil, et de l’armée ;
-destructions de biens mobiliers et immobiliers publics ou privés. Pire encore, c’est l’attitude des ex-rebelles incorporés dans l’armée centrafricaine (vice de procédure) et de ce faisant partie des Forces Armées Centrafricaines « FACA » et appelées « ex-libérateurs », ont continué à semer la terreur« ex-rebelles » :
-contre la population civil,( ex : assassinat d’enfants devant le Lycée B. et de Marie France YALEGAZA etc..)
-dans l’armée centrafricaine tels que
-assassinat du capitaine DAMCHINE,
- soldat MARZANE et Mamadou NGAÏSSONA,
- LT. P . ASSOMBELE,.. KOYANGAO, Sgt SANZE,
- Et les humiliations des personnalités.

1.4 Considérant, la violation de L’Article 15 : de la Chartre Africaine sur le droit des travailleur stipule :
« Tout personne a droit de travailler dans des conditions équitables et satisfaisantes et de percevoir un salaire égale pour un travail égale (reflétant son travail) ».Tel n’est malheureusement pas le cas en RCA. Le paiement d’un salaire, contre partie d’un travail fourni n’est pas respecté.

1.5 Considérant, l’impunité devenu une règle de droit applicable aux proches du pouvoir en générale et particulièrement aux ex-rebelles du Général Président F. BOZIZE ; cette méthode de gestion du pouvoir par le Général Président F. BOZIZE ne peut qu’inciter davantage à la révolte populaire, elle constitue un grave danger permanent d’ou la naissance de la justice populaire. Les arrestations arbitraires effectuées par des Officiers de Police judiciaire et parfois extra judiciaire par les ex-rebelles sont très fréquents. Elles sont utilisées comme moyens d’intimidation des opposants ou de personnes perçues comme telles, tels sont les cas de :
 -Mme Florence NDOUBA, - Col. Sosthène GUETEL, - Mme Clotilde GAMO,-Mr Lévy MALEKIAN, -Pasteur Abel MONGAI, - Mr Pascal NGAKOUTOU,etc.….

1.6 Considérant, La double condamnation en France dans une affaire « D’ESCROQUERIE », le Mercredi 22 Février 2006, par le Tribunal Correctionnel de Melun en France ; puis précédemment en novembre 2002, par le Tribunal de Créteil (Val-de-Marne) pour une affaire de
« VOL A MAIN ARMEE » de l’un des fils du Général F. BOZIZE, traduit fidèlement quel type de père il représente au niveau de sa famille et au niveau de la nation centrafricaine. N’est-ce pas de l’indignité ? Incapable d’éduquer sa famille Le Général Président F. BOZIZE, Général de son état ; s’il est incapable de diriger sa petite famille, de les éduquer, comment peut-il prétendre diriger un Etat , quelle éducation peut-il donner aux Peuple Centrafricains ? TEL PERE, TEL FILS.
Un tel personnage mérite-il encore de diriger notre pays, la République Centrafricaine qui a pour Devise Nationale :
UNITE – DIGNITE – TRAVAIL. C’est de la Haute trahison a notre devise nationale, de l’Indignité Nationale que Le Général F. BOZIZE, car il est claire que c’est le FILS légitime du Président Centrafricain, F.BOZIZE qui vient d’humilier le drapeau centrafricain, Tel père, tel Fils…cliques des voleurs au sommet de l’Etat qui détournent et pillent le Trésor Public centrafricain et comndanent le Peuple à la souffrance, à la misère. Les sept (07) mois de retards de salaires des fonctionnaires centrafricains se justifient,

1.7 Considérant, la prise de position du Général F. BOZIZE R, Le 10 Février 2006, où il a clairement prit parti en défendant ses compagnons de la rébellion, leurs comportements criminels au lieu de défendre la loi, les principes de droit et la justice, les Institutions Républicaines.( Cas de l’assassinat du sergent SANZE),

1.8 Considérant, la violation de son propre sermon, devant la peuple et devant Dieu, le Général F. BOZIZE, le Président de la République, il a déclaré à l’occasion de son investiture :
«Je jure devant Dieu et la nation, d'observer scrupuleusement la Constitution, de garantir l'indépendance et la pérennité de la République, de sauvegarder l'intégrité du territoire, de préserver la paix, de consolider l'unité nationale, d'assurer le bien-être du peuple centrafricain, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge sans aucune considération d'ordre ethnique, régional ou confessionnel, de ne jamais exercer les pouvoirs qui me sont dévolus à des fins personnelles et de n'être guider en tout que par l'intérêt national et la dignité du peuple centrafricain ». A la lecture de ce sermon fait à la nation, Le Général Président, avait-il procédé à une simple lecture sans connaître le sens des mots qu’ils prononçaient devant le peuple ? Véritable paradoxe.

1.9 Considérant, Le premier engagement du Premier Ministre Abel GOUMBA, chef du Gouvernement, et du Général F. BOZIZE, en décidant de commun accord de geler les arriérés de Salaires des régimes KOLINGBA et PATASSE ; mais en contrepartie s’engageaient désormais et fermement à payer le salaire des fonctionnaires à termes échu ( L’Article 15 : de la Chartre Africaine sur le droit des travailleurs) ; par conséquent, conformément au principe de continuité de l’Etat face à la déclaration du 15 Mars 2003, l’actuelle Gouvernement du Premier Ministre Elie DOTE et le Général F. BOZIZE sont tenu de respecter ces engagements, hélas ;

10. Considérant, Le voyage « clandestin » du Général F. BOZIZE l’or de la vente illicite Diamants Centrafricain en Allemagne (L’Affaire Dûsseldorf),saisi par la police Allemande ; et interpeller à son retour par l’opposition centrafricaine sans suite ; il est claire que Le Général Président F. BOZIZE est l’unique Président de l’histoire de la république à jeté de l’opprobre sur notre Nation, par son comportement de délinquance Internationale, de narcotrafiquant de Diamants Centrafricain en Allemagne. Est-il Digne de diriger la Nation Centrafricaine ?

Afin de mettre terme à ces terroristes en République Centrafricaine, et abréger la misère et la souffrance du peuple centrafricains, et de la jeunesse en particulier.
Les conditions pour résoudre l’inéquation F. BOZIZE < 0, existe pour mettre le peuple à l’abri du sanguinaire rituel python.

L’Union des Forces Républicaines, tient à préciser, le sens de son mouvement politico-militaire, qui reproche au Général F. BOZIZE et lui seul son irresponsabilité à garantir la Paix et la Sécurité au Peuple Centrafricain, comme l’exige son sermon devant la Nation et devant DIEU, conformément à la Constitution du 27 décembre 2004,
&#61656; La violation des engagements internationaux, ratifier par la République Centrafricaine ;
&#61656; Son désire de conduire le Peuple : à la Division,à la Guerre Civile, au Génocide, à la haine, à la misère, à la souffrance et par conséquent retarder le processus Démocratique en République Centrafricaine.

L’UFR rappel qu’elle à pour devise : « L’UNION JUSTICE TRAVAIL » de ce fait s’oppose fermement à toute Forme :
&#61656; d’Injustices,de divisions,de haines,de vengeances,de crimes,d’assassinats politique,de génocides,d’arrestations arbitraires,de violations de droit de l’homme,de violations de la liberté de la presse,de la violation de la constitution, des abus de pouvoir, et d’oppression sur le Peuple Centrafricains.

L’UFR appel le Peuple au rassemblement National, sans distinctions de races, d’ethnies, de religions, en République Centrafricaine.
Notre objectif, est de rassembler le Peuple ayant été soumis à la division politique, à l’humiliation publique,à la haine et au mépris des clan et des ethnies et de favoriser leur réintégration pleine et entière au sein de la société centrafricaine et universelle .Il s’agit pour l’Union des Forces Républicaines , de prouver la conscience politique et patriotique du Peuple Centrafricain, à s’entendre,à s’unir autour d’un seul et unique objectif, sortir la République Centrafricaine du sous développement.

Vu le manque de sérieux dans les engagements du Général F. BOZIZE, si le CSADN l’estime crédible, nous déclinons toute responsabilité et conséquence future en cas de non respect des engagements et accords.

L’UFR, suggère au CSADN de négocier plutôt le départ du Général F.BOZIZE avec l’Assemblée Nationale, afin d’éviter au Peuple un bain de sang inutile.

De tout ce qui précède, l’Union des Forces Républicaines, est disponible à dialoguer avec l’opposition comme l’exige l’appel du CSADN et non avec un personnage qui n’honore jamais ses engagements,par conséquent, nous appelons à une CONFERANCE DE L’OPPOSITION CENTRAFRICAINE ET LA SOCIETE CIVILE AVEC LES MOUVEMENTS POLITICO-MILITAIRES autour du thème central proposer à savoir : L’ADOPTION DU PROGRAMME POLITIQUE DE TRANSITION DEMOCRATIQUE EN RCA.

L’UFR invite L’opposition centrafricaine et la société civile à :
• -Mettre en place une Commission de conciliation composée exclusivement de l’opposition centrafricaines et de la société civile (.syndicat),
• collaborer avec la Président SAMBA PANZA (CSADN),
la Commission de conciliation et le CSADN devra prendre toutes mesures possibles pour aider à la mise en place du programme politique de transition ; en tenant compte des exigences préliminaire avant la table ronde tripartie entre :
• -L’oppositions centrafricaine, société civile (syndicat, Représentation réligieuses.)
• -Le Comité de Suivi des Actes du Dialogue National (CSADN)
• -Les mouvements Politico-militaires (Rébellion),
Le tout sous le parrainage de l’Union Africaine.
Nous rappelons que le délai est relativement court, mais appelons de tout nos vœux et prière les formations politiques, en comptant sur toute l’opposition centrafricaines afin de mettre en veilleuse leurs querelles internes de leadership et de regarder vers l’adversaire du Peuple, qui à trahit son propre sermon .

L’Union des Forces Républicaines,
-Réaffirmant sa détermination à mettre un terme à des année d’affrontement et de conflit et à vivre dans un climat de coexistence pacifique, dans la dignité mutuelle et la sécurité fondées sur une paix juste, durable ; et à obtenir une réconciliation historique ;

-Reconnaissant que la paix exige le passage de la logique de guerre et d’affrontement vers une logique de paix et de coopération, et que les actes et les mots caractéristiques de l'état de guerre ne sont ni appropriés ni acceptables dans une ère de paix ;

-Affirmant la conviction profonde que la logique de paix nécessite des compromis, et que la seule solution viable, est celle de la stabilité et le respect des résolutions des Actes du Dialogue National ;

-Reconnaissant qu’après avoir vécu des années dans la crainte et l'insécurité dans la population centrafricaines, le peuples doit entrer dans une ère de paix, de sécurité et de stabilité, ce qui suppose le départ inconditionnel du Général F. BOZIZE (Pasteur criminel) et l’union des forces vive de la nation, part des actions nécessaires à la concrétisation de cette ère ;

-Reconnaissant le droit de l’autre à vivre en paix et en sécurité à l’intérieur de frontières sûres et reconnues, à l’abri de menaces ou d’actes de violence des ex-rebelles à la solde du Général BOZIZE (Réfugiés centrafricains au sud du Tchad) ; déterminés à établir des relations basées sur la coopération et sur l'engagement de vivre côte à côte en bon voisinage,dans l’Unité, la Dignité , et la Solidarité ; en vue de contribuer séparément et conjointement au bien-être de leurs peuples ;

-Réaffirmant l’obligation de se conformer aux normes du droit international et à la Charte de l’Union Africaine et des Nations Unies.

Par voie de conséquence à titre préliminaire, L’UFR exige que le CSADN obtienne du régime Bozize, les points suivants avant toute dialogue afin de prouver sa bonne foi, à savoir :

-Au Niveau de la Population,

-Les Fonctionnaires : le Versement de sept (07) mois de retard de salaires, -Les retraités : le versement de trois (03) trimestres de pension dû,
-Les Etudiants Centrafricaines (Nationaux et à l’Extérieurs) le versement
au moins d’une année de Bourse soit trois (03) trimestres.

-AU PLAN POLITIQUE.

- La mise en liberté, sans conditions de tous les détenus politiques, arbitrairement arrêté par le Régime BOZIZE.

-DROIT DE L’HOMME.

- Garantir la protection des défenseurs de droit de l’Homme en RCA, comme l’exige l'article 1er de la Constitution du 27 décembre 2004.

-AU PLAN MILITAIRE.

- Rétablir l’injustice dans les grades entre les ex-rebelles et les Forces Armées Centrafricaines, soit un avancement en grade de trois (03) crans afin de compenser les écarts de sept(07)crans injustement attribuer aux ex-rebelles sur aucun texte, ni statut et règlement militaire ; inexistant nul part dans le code militaire.
Tels sont les points exigés par l’UFR, au CSADN afin de réunir au préalable un climat favorable de dialogue, au sein de la Population Centrafricaine, et à l’inverse connaître la bonne foi d’un homme qui n’a pas le sens de l’Honneur dans ses paroles, engagements et actes.

Enfin, l’UFR rappel à la Jeunesse Centrafricaine, cheville ouvrière de l’avènement de la démocratie en RCA, sous le régime le l’empereur J.B. BOKASSA 1er, que le combat de la Paix, c’est aussi leur combat ;
C’est pourquoi Chaque un de nous doit aussi contribuer d’une manière ou d’une autre.
Les jeunes aujourd’hui doivent s’engager pour la construction d’un monde dans lequel ils retrouvent leurs rêves, leurs aspirations. Des aspirations soutenues par des valeurs telles que :l’Union, la Justice, le Travail, la Démocratie , la possibilité pour tous de vivre décemment , dans la Paix, la Sécurité, la Stabilité, et le Développement. Les générations passées se sont déjà engagées dans ce combat, parfois au péril de leur vie. Aux générations futures, avec leurs propres identités, de continuer à porter ce flambeau d’espoir. On peut toujours se dire que l’on ne peut rien faire. Il serait dommage de se retrouver dans 50 ans dans la même situation qu’hier et aujourd’hui : injustice, misère, violence, haine, conflit, guerre tribal, racial, génocide…
L’UFR est convaincue que ce monde ne correspond pas aux rêves de chacun d’entre nous. Nous restons confiant dans l’engagement de la jeunesse, pour qu’ensemble, nous puissions bâtir un monde de justice, de solidarité et de Paix.

En effet, La jeunesse Centrafricaine en particulier et la jeunesse africaine en générale doivent prendre leur responsabilité face au défi du troisième millénaire à savoir réussir l’Unité Africaine par le biais d’une révolution démocratique. Car certains gouvernements africains prétendent bâtir l’Unité Africaine mais en réalité sont pour la division, ils sont incapables de réussir l’Unité au sein de leur peuple ; mais prétendent rassembler le peuple Africains. Le plus souvent, ils sont à la solde de l’étranger. Certains pays grâce à la révolution qu’ils ont réussi le décollage économique de leur pays.
- Ex : l’ex-Haute Volta, devenu le Burkina- Faso avec la Révolution de feu Président Capitaine Thomas SANKARA/Paix à son âme.

Rappelons ici quelques faits historiques :
&#61656; LA REVOLUTION FRANCAISE de 1789, dans ce qu’elle a signifié pour le peuple français et pour les autres peuples épris de LIBERTE et de JUSTICE dans l’exaltation des idéaux d’égalité et de démocratie, n’a-t-elle pas canalisé les forces et de l’énergie du peuple français dans un mouvement national ?
&#61656; Faut-il rappeler également l’histoire des Etats-Unis d’Amérique, pays naguère divisé, colonisé et pauvre, dont 80% des habitants ne possédaient ni de quoi se nourrir ni de quoi se vêtir ? Mais comment les Etats-Unis ont-ils réussi, en moins d’un siècle et demi à utiliser toutes leurs potentialités et à atteindre un degré de développement économique tel, qu’ils sont à même, aujourd’hui, de garantir la sécurité et d’assurer le bien-être de tous les Américains ? Si cela a été possible c’est parce que, au moment de la lutte pour l’indépendance, il s’est créé un seul courant qui, s’il regroupait certes des formations diverses est finalement parvenu à constituer un mouvement, puis un front national unique. Cette victoire des colonies britanniques d’Amérique sur elles-mêmes leur a ainsi permis de gagner la grande bataille de l’indépendance, de l’Unité et du développement ultérieur à l’économie Américaine.
&#61656; Et comment la CHINE, avec une population de plus de 700million à l’époque, face aux problèmes colossaux comme ceux de son alimentation et l’amélioration des conditions de vie ; comment ce pays a-t-il pu , depuis son indépendance et en dépit de nombreux danger qui le menaçaient , réussi à surmonter, imposé son indépendance et assurer son propre développement au point qu’aujourd’hui elle est devenu une grande une puissance économique, et depuis en 1964 une puissance nucléaire.

Par conséquent, nous n’avons nullement à craindre de prendre nos responsabilités et nous ne devons pas cacher la vérité à nos peuples.
Le but fondamental de la lutte révolutionnaire de l’Union des Forces Républicaines, c’est la transformation heureuse des conditions d’existence du Peuple.
Or les conditions d’existences du peuple sont définies par l’ensemble des facteurs politiques, économiques, sociaux et culturels qui conditionne le bien-être de l’homme et du Peuple.
Le Peuple Centrafricain doit s’unir face au défi du troisième millénaire.
&#61656; Ne pas nous unir aujourd’hui, c’est commettre un acte de complicité
avec nos adversaires, qui nous bâillonnent, oppriment et divisent,
&#61656; Ne pas nous unir aujourd’hui, c’est être artisans de la perpétuation de
notre sous- développement économique, scientifique, technologique.
&#61656; Ne pas nous unir aujourd’hui, c’est travaillé à l’étouffement de nos peuples. C’est nous abstenir délibérément de leur fournir toutes les chances d’être utilement présents de tout le poids qu’ils sont en droit d’exiger dans le concert des Nations, au rendez-vous de la Mondialisation.
Nous devons, pour l’honneur et la grandeur de notre Peuples, assurer nos responsabilités historiques en nous engageant fermement dans la voie de l’Unité, dans la voie du Travail, dans la voie de la Justice, dans la voie de la Coopération Internationale. Le devenir de nos jeunes nations, de nos peuples dépend de notre attitude dans le présent.
Nous devons retenir que, ce sont les peuples qui font l’histoire, c’est-à-dire que ce sont eux exclusivement qui en sont le moteur. Et dans ce processus, il leur faut non pas seulement de l’argent, des moyens techniques, des subsides charitables et anesthésiants, mais aussi le bien suprême de l’humanité, celui que ni les incendies, ni les guerres ne sauraient détruire, celui que le temps même ne saurait jeter bas, cette richesse qui n’est rien d’autre que la conscience politique, d’une jeunesse engagée pour son destin. Cette haute conscience qui dicte et contrôle les activités humaines dans un sens de constante élévation et du développement continu.
Notre Histoire, l’histoire de la république centrafricaine et de l’Afrique se fera, parce que les jeunesses Africaines aussi sont des hommes conscients et responsables qui aspirent à la liberté et au bonheur. C’est pourquoi malgré notre retard sur les autres pays d’Amérique, d’Europe occidentale ou orientale, nous réaliserons, grâce à notre UNITÉ NATIONALE, ce que ceux-ci ont réalisé, en défendant puissamment, victorieusement les acquis de la révolution.


Tel est le sens de notre devoir et tel est le sens de l’engagement de notre action. En Centrafrique, il est vrai, nous avons bien sûr nos contradictions. Mais, il est temps pour nous de les transcender et de faire face à nos communes responsabilités dans la sauvegarde de notre LIBERTÉ, de notre DIGNITÉ, et de notre UNITÉ AFRICAINE. Alors, l’avenir qui s’ouvre devant nous sera le fruit de nos activités fécondes. Et cet avenir sera sans nul doute un avenir merveilleux.
Face aux mêmes ambitions légitimes, aux mêmes désirs que nourrissent peuple centrafricain et Africain, il est impérieux et nécessaire d’unir nos forces pour mettre hors d’état de nuire ceux qui oppriment, abusent, et bâillonnent nos peuples épris de PAIX, LIBERTÉ, JUSTICE et DÉVELOPPEMENT.
Que le DIEU CLÉMENT ET MISÉRICORDIEUX DAIGNE PROTÉGER LE PEUPLE CENTRAFRICAIN.

Vive la Révolution Démocratique,
Vive la Jeunesse Centrafricaine, pour que
Vive le Peuple centrafricain.

Fait, le 20 Avril 2006.
_______


LE SECRETAIRE GENERAL DE L’UFR
LT. F.N’DJADDER-BEDAYA


Copie :
- LE Comité de Suivi des Actes du Dialogue National (CSADN)
- LES PARTIS POLITIQUES D’OPPOSITIONS CENTRAFRICAINE
- LES BUREAUX SYNDICAUX
- LES AMBASSADES ET CORPS CONSULAIRES EN RCA.
- L’UNION AFRICAINE
- L’AMNESTY INTERNATIONAL,
- LCDH
- Les Organismes Religieuses…

Contact/ standard : Mme NGANAFEI Lydie
Email : ufrcentrafrique@yahoo.fr
RDCongo.



LE HAUT CONSEIL NATIONAL
DE LA REVOLUTION (HCNR),
L’OPPOSITION CENTRAFRICAINE, ET A LA SOCIETE CIVILE.
*******************************************************
Réf: N°007-04-06/COOR/HCNR/C-COM-FORCES-REP.









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